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3
x
28
h'
d) x2 + 2x + 1 = 0 s’écrit (x + 1)2 = 0.
a=
Donc = {– 1}.
e) (x + 2)2 – 4 = 0 équivaut à (x + 2 – 2)(x + 2 + 2) = 0,
soit x(x + 4) = 0, c’est–à–dire x = 0 ou x + 4 = 0.
Donc = {– 4 ; 0}.
3
h × a a 2 ×a 3 2 3 1. a) 2(x – 1)2 – 8 = 2(x2 – 2x + 1) – 8
aire de la pizza : = = = a
2 2 2 4 = 2x2 – 4x – 6 = P(x).
= 196 3 cm . b) 2(x – 3)(x + 1) = 2(x – 2x – 3)
2
3 = 2x2 – 4x – 6 = P(x).
x ×x
h’ × x 2 3 2 2. a) P(3) = 2(3 – 3)(3 + 1) = 0,
aire de chaque part = = = x cm2
2 2 4 P(1+ 2)= 2(1+ 2 –1)2 – 8
ce qui donne x2 = 392 d’où x ≈ 19,8 cm.
L’âge de mon petit fils est 20 ans. = 2( 2 )2 – 8 = – 4.
b) • P(x) = 0 s’écrit 2(x – 3)(x + 1) = 0 et équivaut à :
• Énigme ✱ ✱ x – 3 = 0 ou x + 1 = 0.
Donc = {– 1 ; 3}.
On note h la fonction de degré 2 qui donne la position
• P(x) = – 8 s’écrit 2(x – 1)2 – 8 = – 8 et équivaut à :
d’un point de l’arc parabolique en fonction de la distance
2(x – 1)2 = 0.
de la rive.
Donc = {1}.
La portée et la hauteur de l’arc parabolique permettent
• P(x) = – 6 s’écrit 2x2 – 4x – 6 = – 6, soit
d’obtenir l’écriture de la forme canonique :
2x2 – 4x = 0, c’est-à-dire 2x(x – 2) = 0 et équivaut à
200 2
1
h (x) = a x –
2
+ 80. x = 0 ou x – 2 = 0. Donc = {0 ; 2}.
Or h (0) = 0 donc a × 100 + 80 = 0
2 c) • P(x) = 2(x – 1)2 – 8 donc le minimum de P sur R est – 8
donc a = – 0,008. et il est atteint pour x = 1.
Ainsi h (x) = – 0,008 (x – 100)2 + 80.
4 a) Pour tout nombre réel x, – 2(x – 3)2 – 1 < 0.
h (40) = 51,2.
La hauteur du pont est 51,2 m. b)
x 3
– –
2 +
– 4x – 6 + 0 –
2. Vérifier les acquis
1 a) (x + 2)2 = x2 + 4x + 4 c)
b) (x – 3)2 = x2 – 6x + 9 x – – 1 3 +
c) c x - 3 m = x2 - 3 x + 9
5 2 10 25 x–3 – – 0 +
x+1 – 0 + +
d) c x + 2 m = x2 + 5x + 4
5 2 25
2(x – 3)(x + 1) + 0 – 0 +
e) x2 – 9 = (x + 3)(x – 3)
f) x2 – 5 = (x + 5)(x – 5) d) 2x2 + 4x = 2x(x + 2).
x – – 2 0 +
2 a) 4x2 = 9 équivaut à 4x2 – 9 = 0, c’est–à–dire (2x – 3)
2x – – 0 +
(2x + 3) = 0, soit 2x – 3 = 0 ou 2x + 3 = 0.
x+2 – 0 + +
Donc = '– 2 ; 2 1 .
3 3
2x(x + 2) + 0 – 0 +
3. Activités d’approche
1 1. b) m = 1, a = – 1, b = – 4 4. Accompagnement personnalisé
c) Pour tout réel x, 1 a = 2, b = – 20 et c = 0.
(x + 1)2 – 4 = x2 + 2x + 1 – 4 = x2 + 2x – 3 = f (x) La forme canonique de p est p(t) = 2(t – 5)2 – 50.
2 a) • f (x) = x2 – 6x + 11 a) La profondeur du plongeon est de 50 m.
m = 1 ; a = 3, b = 2 b) Le temps de descente du plongeon est de 5 s.
5 c) La durée totale du plongeon est de 10 s.
• f (x) = x2 + 3x +
3 4
m = 1 ; a = – , b = – 1. 2 La forme canonique de h est :
( )
2 2
• f (x) = – 2x2 – 4x – 2 3 405
h(t) = –5 t − 2 + 4 .
m = – 2 ; a = – 1, b = 0
a) La hauteur maximale du pigeon d’argile est
b) On peut émettre les conjectures suivantes :
405
•a=m 4 m soit environ 101,25 m.
• (a ; b) sont les coordonnées de la parabole qui repré- b) Cette hauteur est atteinte à l’instant t = 1,5 s.
sente f. c) On résout –t2 + 3t + 18 = 0,
b
•a=– ∆ = 81, t1 = – 3, t2 = 6.
2a
• b = f (a) La durée du vol est de 6 s.
x – – 3
1
+
1 2 4
2 1 2 3
f(x) – 0 + 0 – 1
b) g(x) = – 2 x – +
2
2
1
5 2 35
donc = [– 3 ; 2 ].
b) Le sommet a pour coordonnées c– 4 ; 8 m .
5 49 1
c) h(x) = 3 x – +
6 12
2
1 9
c) f (x) = 3 équivaut à – 2x2 – 5x = 0, c’est–à–dire :
1
d) k(t) = – 2 t – + .
x(–2x – 5) = 0. Donc = '- 2 ; 01 .
5 4 8
d) Pour tout nombre réel x, 11 1. • Le sommet de #1 a pour coordonnées (– 2 ; 3)
donc f1 (x) = a (x + 2)2 + 3.
f ( x) = - 2c x + 5 m + 49 donc f ( x) G 49 .
2
4 8 8 Or f1 (1) = 6 donc 9a + 3 = 6
1
4 a) On résout – 2q2 + 110q – 900 = 0. soit a = .
3
∆ = 4 900, q1 = 10 et q2 = 45. 1
Ainsi f1 (x) = (x + 2)2 + 3.
Le bénéfice B(q) est nul pour q = 10 et q = 45 articles 3
• Le sommet de #2 a pour coordonnées (2 ; – 3) donc :
fabriqués.
f2 (x) = a (x – 2)2 – 3.
b) L’inéquation B(q) > 0 a pour solution :
Or f2 (1) = – 1 donc a – 3 = – 1
= ]10 ; 45[.
soit a = 2.
c) Pour q ∈ [0 ; 80], B(q) = – 2 (q – 27,5)2 + 612,5.
Ainsi f2 (x) = 2 (x – 2)2 – 3
q 0 27,5 80 • Le sommet de #3 a pour coordonnées (3 ; 2) donc :
612,5 f3 (x) = a (x – 3)2 + 2.
B(q) Or f3 (2) = 1 donc a + 2 = 1
– 900 – 4 900 soit a = – 1.
Ainsi f3 (x) = – (x – 3)2 + 2.
De 0 à 27 articles fabriqués, le bénéfice augmente.
• Le sommet de #4 a pour coordonnées (– 3 ; 2) donc :
De 28 à 80 articles fabriqués, le bénéfice diminue.
f4 (x) = a (x + 3)2 + 2.
b) On obtient les solutions 3 et 2.
Or f4 (– 2) = – 1 donc a + 2 = – 1
5 a) Le programme affiche « Pas de solution ». soit a = – 3.
b) Pauline s’est trompée dans le calcul de ∆: Ainsi f4 (x) = – 3 (x + 3)2 + 2.
∆ = (– 3)2 – 4 × 2 × 5 = – 31. 1 1 4 13
2. f1 (x) = (x + 2)2 + 3 = x2 + x + = h (x)
3 2 3 3 3
6 Clément donne une valeur approchée de la so- f2 (x) = 2 (x – 2) – 3 = 2x – 8x + 5 = k (x)
2
20 a) = 1 – 13 ; 1 + 13
6 6
b) = – 35 35
;
7 7
c) = 5 – 21 ; 5 + 21
2 2
d) = ∅
21 • #1 ne coupe pas l’axe des abscisses donc pas de
factorisation possible.
16 a) f1est décroissante sur ]– ; 1] et croissante sur 1
f2 (x) = (x – 1) (x – 5)
[1 ; +[. 2
1
b) f2 est décroissante sur ]– ; 3] et croissante sur [3 ; +[. f3 (x) = (x – 1) (x + 1)
2
c) f3 est croissante sur ]– ; – 0,5] et décroissante sur 3
[– 0,5 ; +[. f4 (x) = – (x + 2) (x – 2)
4
d) f4 est croissante sur ]– ; 6] et décroissante sur [6 ; +[. 22 a) ∆ = 5
1
17 a) f1 est décroissante sur ]– ; – ] et croissante –7– 5 7 + 5 –7 + 5 7 − 5
2 x1 = 2 ; x2 = –2
1 = =
sur [– ; +[. –2 2
2 b)
b) f2 est croissante sur ]– ∞ ; 1] et décroissante sur [1 ; + ∞ [ .
c) f3 est décroissante sur ]– ∞ ; 0] et croissante sur [0 ; + ∞ [ .
c) f4 est croissante sur ]– ∞ ; 1] et décroissante sur [1 ; + ∞ [ .
18 a)
Entrées
Saisie a, b, c (réels)
Traitement x1 ≈ 4,62 et x2 ≈ 2,38
U prend la valeur – b/2a 23 a) Les sommets des deux paraboles ont pour abs-
V prend la valeur – (b2 – 4ac)/4a cisse 0 donc
Sortie x a (x – 0)2 + b = ax2 + b
Afficher U, V. 16
b) Sur Casio b) • a1 = – et b1 = 16
25
“A” ? → A ↵ 7
a2 = – et b2 = 14
“B” ? → B ↵ 50
“C” ? → C ↵ 16 2 7 2 1
c) – x + 16 = – x + 14 équivaut à x2 = 2, ce qui
– B ÷ (2A) → U ↵ 25 50 2
donne x = – 2 ou x = 2.
– (B2 – 4AC) ÷ (4A) → V ↵ 16 336
– × 22 + 16 = = 13,44.
U 25 25
V Les deux jets d’eau se croisent à 13,44 dm.
Sur TI x2
24 a) f (x) = 0 ⇔ – + x = 0
: Prompt A, B, C 32
x
: – B/2A → U 1
⇔x – +1 =0
32
: – (B2 – 4AC)/(4A) → V
⇔ x = 0 ou x = 32.
: Disp U
Le ballon tombe à 32 mètres du gardien.
: Disp V 1
c) f (x) = x2 – 4x + 7 donc a = 2 et b = 3 b) f (x) = – (x – 16)2 + 8.
32
• f (x) = 3x2 + 24x + 41 donc a = – 4 et b = – 7 La hauteur maximale atteinte par le ballon est 8 mètres.
= [– 2 ; 1] = [2 ; 6]
1 La valeur de l’action a dépassé 5 e pendant 4 mois.
28 a) ∆ = 9, x1 = – 2 et x2 = – 50
2 b) v(t) 2 + × 2 ⇔ v(t) 3
100
x 1
– ∞ – 2 ⇔ t2 – 8t + 4 0
– 2 +∞
∆ = 48, t1 = 4 – 2 3 , t2 = 4 + 2 3
f (x) – 0 + 0 –
b) t 0 t1 t2 8
t – 8t + 4
2
+ 0 – 0 +
= [t1 ; t2]
t1 ≈ 0,5 t2 ≈ 7,5
Pendant environ 7 mois l’action a gagné plus de 50 %
de sa valeur initiale.
7. Exercices d’entraînement
36 1. a) f (x) = a x + b 2 – b
1
2
51 a) Si P, alors Q.
b) Si la déformation était proportionnelle à la vitesse de b) Si P, alors Q.
la balle, la représentation graphique serait une droite Si P, alors Q.
passant par l’origine, ce qui n’est pas possible d’après Si Q, alors P.
l’allure du nuage. Par contre, le nuage de points et le P équivalent à Q.
point (0 ; 0) correspondant à une déformation nulle c) Si Q, alors P.
pour une vitesse nulle suggère d’utiliser une fonction d) Aucune n’est vraie.
polynôme de degré 2.
2. a) D’après 1. b), la modélisation qui semble appro-
priée est D = aV2. Pour déterminer la valeur de a, on 8. Mettre en œuvre une recherche
D
peut calculer la moyenne des rapports 2 . À l’aide de
V
la calculatrice a ≈ 4,12 × 10–4. D = 4,12 × 10–4V2. 52 1. a)
b) V = 700.
D = 4,12 × 10–4 × 7002 ≈ 202
Une balle dont la vitesse est 700 m/s produirait une
déformation de 202 cm3.
47 1 : ∆ 0 4 : ∆ = 0
2 : ∆ = 0 5 : ∆ 0
b) On peut conjecturer que S(x) :
3 : ∆ 0 6 : ∆ 0
• est minimale pour x = 3
48 1. a) 1, 2 et 4 • est égale à 19 cm2 pour x = 2 ou x = 4.
• est supérieure à 25 cm2 pour x ∈ [0 ; 1] ∪ {5}.
b) 1 et 2
2. Calcul de l’aire S(x).
2. a) 1 et 2
a) Aire(MNPQ) = aire(ABCD) – 2 × aire(AMQ) – 2 aire(PDQ).
b) 2 et 4
b) Pour tout nombre réel x de [0 ; 5] :
1 000 x(5 – x) x(7 – x)
49 a) y = (t – 0,15)2 S(x) = 7 × 5 – 2 × –2
289 2 2
b) La distance d(t) est maintenant donnée par : S(x) = 35 – (–x2 + 5x) – (–x2 + 7x)
1 000 S(x) = 2x2 – 12x + 35.
d(t) = (t – 0,15 + 0,05)2
289 3. a)
1 000
d(t) = (t – 0,10)2
289
1 000
d(1) = × 0,92 ≈ 2,80
289
Le sprinter parcourt environ 30 cm supplémentaire.
( )
2
1 275
x 0 1 5 est g (x) = 22 x + 2 − 2
x – 6x + 5
2
+ 0 – 0 • h est donnée sous forme développée. Sa forme facto-
risée est h (x) = (x – 4)(x + 3) et sa forme canonique est :
= [0 ; 1] ∪ {5}.
( )
2
1 49
h (x) = x − 2 − 4
10
11
12
Sujet 2 :
On peut obtenir des informations sur le site :
– de Rogers Centre :
http://www.rogerscentre.com/about/history.jsp
– a view on cities
http://www.aviewoncities.com/toronto/skydome.htm
13
( )
2
1
2 = 2+ 2+2 = 2+ 2+ 2+2 … . 5 a) x x+ est décroissante sur
4
1
Donc f (2) = 2 (par itérations successives…). – ; – 4
1
et croissante sur – ; + ,
4
• Énigme** donc f est croissante sur – ; – 4 1
2 009
2 008
=1+
1
2 008
et
20 009
20 008
=1+
1
20 008
.
1
et décroissante sur – 4 ; + .
7
1 b) Le maximum de f est égal à – 8 .
Considérons la fonction f : x 1 + sur ]0 ; + ∞ [.
x 6 a)
f est décroissante sur ]0 ; + ∞ [. 2008 10 000 20 008.
Élever Prendre
Donc f (20 008) f (10 000) f (2008). Soustraire 1
au carré l’inverse
Or f (10 000) = 1.0001. Donc la réponse est d).
1
x x – 1 (x – 1)2
b) ^x–1h2
car m + 1 > O
Le triangle OKI est rectangle en O.
D’après le théorème de Pythagore, OK2 + OI2 = KI2.
On obtient :
m+1 2 m–1 2
OK2 =
21 – 1
2
=m
Comme OK et m sont positifs, on obtient OK = m .
1 K a une ordonnée positive, par construction, donc l’or-
donnée de K est égale à m .
–3 O 1 2
c) Le point B a pour coordonnées (m ; m ).
L’inéquation équivaut à Donc G est la courbe représentative de la fonction racine
x2 6 – x. carrée dans le repère utilisé sur l’intervalle [0 ; 20].
= ]– ; –3] [2 ; + [ d) f est croissante sur [0 ; 20].
15
4 O 1
16
31
5. Exercices de base 4
9
11 1. a) f(16) = 4 b) f(100) = 10 c) f(0,01) = 0,1 O 16 1
d) f(106) = 103.
17
x 0 + ∞
22 a) x ∈ [0 ; 5] x ∈ [0 ; 5[.
b) x ∈ [– 3 ; – 1] x ∈ [0 ; 3]. h (x)
c) x ∈ [– 2 ; 7] x ∈ [0 ; 7].
23 a) d) x x est décroissante sur ]– ∞ ; 0] et croissante
sur [0 ; + ∞[.
1
x x + et x x ont le même sens de variation.
3 2
1
x – ∞ 0 + ∞
–3 O 1 3
= ]– ; –3][3 ; + [ k (x)
b)
1,5
1
–1,5 1,5
O 1
= [–1,5 ; 1,5]
18
200 +
+
27 150
90 110 130 150 170 180
Coût (en €)
f (90) = 180 f (110) = 250 f (130) = 300 f (150) = 340
Coût réévalué f (170) = 300 f (180) = 280.
On calcule 1,1 f(x) pour x ∈ {90 ; 110 ; 130 ; 150 ; 170 ;
+ 180}, puis on place les points de la courbe représentative
1 + +
Nombre de x 1,1 f(x).
d’articles 30
O 25 150 350
x – 4 – 2 1 3
28 a) f(x) = – 1 × x2. La fonction carré est décroissante 2 1 – 1
3 g (x) 2
1
sur ]– ∞ ; 0] et croissante sur [0 ; + ∞[et – 0 ; donc f 0
3
et la fonction carré ont des sens de variation contraires. 0
h (x) – 8 – 2 4
x – ∞ 0 + ∞
0
f (x) 31 a) f(x) = – 2 x2 + 1.
3 3
2
x – x2 et x x2 ont des sens de variation contraires.
1 3
b) g(x) = 2 × ; 2 0 donc g et la fonction inverse ont 2
x
le même sens de variation.
1– 0
3
2 2 1
x – x2 et x – x2 + ont le même sens de variation.
x – ∞ 0 + ∞ 3 3 3
19
x – ∞ 0 + ∞
1 1
d) k(x) = – × | x | + .
4 4 k (x)
1
x – × | x | et x | x | ont des sens de variation contraires. 0
4
1
1– 0 .
4 34 a) La fonction f est décroissante sur ]– ; 1[ et
1 1 1 sur ]1 ; + [.
x – |x | + et x – | x | ont le même sens de va-
4 4 4 b)
riation.
x – ∞ 0 + ∞
1
k (x) 4
x 0 + ∞
6. Travaux pratiques
f (x)
36 1. a) b) f semble décroissante sur ]2 ; + ∞[.
b) x 3x + 1 est croissante sur R. b a(x – 2) + b ax – 2a + b
1 c) a + = = pour tout réel
Pour tout x ∈]– ∞ ; – [, 3x + 1 < 0. x–2 x–2 x–2
3 x ∈ I.
g est la fonction inverse de la fonction x 3x + 1. Par identification des coefficients des numérateurs dans
1 ax – 2a + b x + 1
Donc g est décroissante sur ]– ∞ ; – [. = , on obtient :
3 x–2 x–2
x – ∞ –
1
3 {a = 1
– 2a + b = 1
soit
{ a=1
b=3
3
Donc pour tout x ∈ ]2 ; + ∞[, f(x) = 1 + .
g (x) x–2
x – 2 0 pour tout réel x ∈ ]– 2 ; + ∞[.
1
c) x – x + 2 est décroissante sur R. x x – 2 et x ont des sens de variation contraires
x–2
Pour tout x ∈ ]– ∞ ; 2], – x + 2 0. 3 1
sur ]2 ; + ∞[ ; x et x ont le même sens
h est la fonction racine carrée de x – x + 2. x–2 x–2
Donc h est décroissante sur ]– ∞ ; 2]. de variation sur ]2 ; + ∞[.
3
Or x x – 2 est croissante sur ]2 ; + ∞[ ; donc x
x – ∞ 2 x–2
est décroissante sur ]– 2 ; + ∞[
3
h (x) x1+ a le même sens de variation sur ]– 2 ; + ∞[
0 x–2
3
que x ; donc f est décroissante sur ]2 ; + ∞[.
d) • x x est décroissante sur ]– ∞ ; 0] et pour tout x–2
x < 0, x 0. 2. a) b) g semble croissante sur [– 1 ; 0] et décroissante
Donc la fonction k, qui est la fonction racine carrée de sur [0 ; 1].
x x est décroissante sur ]– ∞ ; 0]. c) u(x) = 1 – x2 x ∈ [– 1 ; 1] alors g(x) = u( x)
20
{
4. a) b) k semble croissante sur [0 ; + ∞[. f(x) = x2 pour x ∈ ]– ∞ ; 1] [1 ; + ∞[
c) a et b sont deux réels positifs tels que a b. f(x) = x pour x ∈ [– 1 ; 1].
Alors 2a 2b et a b 2. a)
Par somme nombre à nombre des deux inégalités ci- Entrée
dessus, on obtient : Saisir x
2a + a 2b + b Traitement
soit k(a) k(b) Si x 1 alors
donc k est croissante sur [0 ; + ∞[. y prend la valeur x
37 1. a) D a pour coefficient a ; son équation est de sinon
y prend la valeur x2
la forme y = ax + b.
FinSi
A(1 ; 1) ∈ D donc 1 = a + b soit b = 1 – a.
Sortie
D a donc pour équation : y = ax + (1 – a).
Afficher y.
b) Voir site compagnon.
c) Voir site compagnon. b) Sur TI :
2. a) • L’abcisse du point M vérifie l’équation : Prompt X
0 = ax + (1 – a) If abs(X) 1
a–1 Then
d’où x =
a abs(X) Y
• L’ordonnée du point M est égale à Else
ax 0 + (1 – a) = 1 – a. X2 → Y
D’où M
a–1
1
a
;1–a . End
Dip Y
a –1
b) a = a –1 = 1– a
a –1 7. Exercices d’entraînement
–1 a –1– a
a
x 39 1. u et v sont deux nombres positifs tels que u v.
donc y =
x–1 Les deux nombres positifs u et v sont rangés dans
c) Pour tout nombre réel x ≠ 1, le même ordre que leurs carrés.
x x–1 1 1 ( u )2 = u et v 2 = v. Or u v donc u v , donc
f(x) = = + =1+ .
x–1 x–1 x–1 x–1 la fonction racine carrée est croissante sur [0 ; + ∞[.
21
22
+
f
+
10
0 5 30
+
u
+
4. a) 300 1 000
• f(x) = 70 et x < 0 équivaut à90 – 5x = 70
3. La recette obtenue par la vente de x unités de ce
Donc x = 4
produit est égale à 25x.
f(x) = 70 n’a aucune solution dans ]– ∞ ; 0]
La production est rentable lorsque :
• f(x) = 70 et x ∈[0 ; 30] équivaut à 90 – x = 70
3 000
Donc x = 20 15 + < 25 et x ∈ ]0 ; 10 000]
x
f(x) = 70 a une solution dans [0 ; 30] : 20 3 000
Cette inéquation équivaut à < 10.
• f(x) = 70 et x 30 équivaut à 5x – 90 = 70 x
Donc x = 32 La fonction inverse étant décroissante sur ]0 ; + ∞[, on
f(x) = 70 a une solution dans [30 ; + ∞[ : 32 obtient alors :
b) L’emplacement du trésor peut donc être situé entre x 1
le mât et le cocotier à une distance égale à 4 pas du mât 3 000 10
ou du même côté que le cocotier du mât à une distance soit x 300.
égale à 32 pas du mât. La production est rentable lorsque l’on produit plus de
45 a) 300 unités.
23
y= ( x – 4 )2 + 9 (HM = x – 4)
(x – 4) = (4 – x) pour x ∈ R.
2 2
10
20
y
24
+1 +
>
>1
+ + +
25
58 a) pour x = – 3, z = 8
pour x = – 1, z = 0
1 3
pour x = – , z =
2 4
pour x = 0, z = 1
1 15
pour x = , z =
4 16
26
x +1
K (2 – x2 ; 2 − x 2 ) pour x ∈– 52 ; 52 . d) Faux. On trace la représentation graphique de
P (x ; 2 − x 2 ) x | x – 3 |.
3. Par un calcul de distance :
2
a) OP = x 2 + 2 − x 2 = 2 donc P appartient au cercle
de centre O et de rayon 52 . 1
b) L’ordonnée de P est positive.
O
Donc le lieu de points décrit par P est le demi-cercle de 1 3
centre O, de rayon 52 inclus dans le demi-plan y 0. La fonction est décroissante sur ]– ; 3]
C02_fig10 40 x 25 et croissante
À l’aide d’une fonction. sur [3 ; + [.
a) h(x) = 2 − x 2 par x ∈– 52 ; 52 .
65 a) Faux. On trace la représentation graphique de
b) La représentation graphique de h est le demi-cercle
x x .
défini par : y = 2 − x 2
y0 4
est aussi le lieu du point P.
3
Se préparer au contrôle
1
66 0 x (1) On multiplie chaque membre
1 2 de l'inégalité par –1 < 0 ; le sens
1 de l'inégalité change.
–2 O 1 3
– –x 0
2 (2) On ajoute 1 à chaque membre
C02_fig09 28 x 24 de l'inégalité. Le sens est inchangé.
3. c) Voir cours p. 42, propriété §3. 1
1–x1
2 (3) La fonction racine carrée est
Vrai – Faux 1 croissante sur [0 ; + [.
1– x 1
2 (4) La fonction inverse est décrois-
64 a) Vrai. La fonction x x2 est croissante sur ]0 ; + [. sante sur ]0 ; + [.
1
1 1 2 (5) On multiplie chaque membre
Pour tout x > 0, x2 > 0 donc x 2 est décroissante sur 1– x de l'inégalité par –1 < 0 ; le sens des
x
]0 ; +[. inégalités change.
27
–(x –2) 1 – x +3 –1 O 1 2 5
+
x –2 x –2 x –2 = f (x)
=
b) Graphiquement,C02_fig13 40et
on peut lire que – 1 x 30
5 sont solutions.
b) c) | x – 2 | = 3 si et seulement si x – 2 = 3 ou x – 2 = –3
– 2 +
c’est-à-dire x = 5 ou x = –1.
xx –2
1
x x –2
1 10. Exercices d’approfondissement
x –1 +
x –2
72 a) MA = x ; MB = 8 – x x ∈ ]0 ; 8[
f est donc décroissante sur ]– ; 2[ et sur ]2 ; + [. 1 1 8–x+x 8
a) f(x) = + = =
x 8 – x x (8 – x) x (8 – x)
68 u est décroissante sur [0 ; 1] et croissante sur [1 ; + [.
16 – (x – 4)2 = 16 – (x2 – 8x + 16) = – x2 + 8x
a) f est croissante sur [0 ; 1] et décroissante sur [1 ; + [.
8
b) g est décroissante sur [2 ; + [. Alors pour tout x ∈ ]0 ; 8[, f(x) =
16 – (x –4)2
c) h est croissante sur ]0 ; 1], décroissante sur [1 ; 2[ et b) a, b sont deux nombres réels de ]0 ; 4] tels que a b.
décroissante sur ]2 ; + [.
Alors 0 a b 4
69 1. a) f est définie sur l’intervalle [–1 ; 2] (car si x ∈ – 4 a – 4 b – 4 0
[–3 ; –1[, v (x) 0). (a – 4)2 (b – 4)2 16 (la fonction carré est décroissante
sur ]– ; 0[
b)
x –1 0 2 – (a – 4)2 – (b – 4)2 – 16
5 16 – (a – 4)2 16 – (b – 4)2 0
f
3 1 1
0
16 – (a – 4)2 16 – (a – 4)2
2. a) g est définie sur l’intervalle [–3 ; –1[ et sur l’intervalle (la fonction inverse est décroissante sur ]– ; 0[).
]–1 ; 2] (car v (–1) = 0). 8 8
b) 16 – (a – 4)2 16 – (b – 4)2
x –3 –1 0 2 f (a) f (b)
–1 1 donc f est décroissante sur ]0 ; 4].
g 1 a, b sont deux nombres réels de [4 ; 8[ tels que a b.
3
5
Alors 4 a b 8
0 a–4 b–4 4
70 a) La longueur AM est minimale lorsque dans le
0 (a – 4)2 (b – 4)2 16
triangle ABC, le point M est le pied de la hauteur issue
(car la fonction carré est croissante sur [0 ; + [)
de A.
C
0 – (a – 4)2 – (b – 4)2 – 16
16 16 – (a – 4)2 16 – (b – 4)2 0
1 1
M 16 – (a – 4) 2
16 – (b – 4)2
x (car la fonction inverse est décroissante sur ]0 ; + [)
8 8
A B
16 – (a – 4)2 16 – (b – 4)2
Par le théorème deC02_fig11 25 x 25
Pythagore : f (a) f (b)
BC2 = AB2 + AC2 = 25 donc BC = 5. donc f est croissante sur [4 ; 8[.
On en déduit que x ∈ [0 ; 5]. c) Le tableau de variation de f sur ]0 ; 8 [ est :
b)
x 0 x0 5 x 0 4 8
4 3
f 12 f(x) 1
5 2
28
>
2 – (1 + x) + 2 1 – x
–1+ = = = f (x)
1+x 1+x 1+x
5
b) • x 1 + x est croissante sur [0 ; 1] et :
pour tout x ∈ [0 ; 1], 1 + x 0 1 2 3 4 t
1
•x et x 1 + x ont des sens de variation
x+1 d) Il s’agit de résoudre l’inéquation
contraires sur [0 ; 1]. f (t) 18pour t ∈ ]0 ; 10].
1 2 Cette inéquation équivaut successivement à :
•x et ont le même sens de variation sur
x+1 x+1 45
4,5 + 18
[0 ; 1] ; elles sont décroissantes sur [0 ; 1]. t
45 (la fonction inverse est décroissante
2 2 13,5
•x–1+ et x ont le même sens de varia- t sur ]0 ; + [)
x+1 x+1
t 1
tion sur [0 ; 1].
45 13,5
f est donc décroissante sur [0 ; 1].
45
t
13,5
74 1. a) S (t) = 9t + 1 (1 – t) × 9
2 10
t
prime 3
L’ouvrier doit travailler moins de 3 h et 20 min pour au
9
S (t) = t + 45 = 4,5 t + 45 moins doubler son salaire horaire de base.
2
b) 75 1. a) 1 – x2 0 équivaut à 1 x2
S(t)
soit – 1 x 1
b)
45
c) M est un point d’abscisse x de la courbe de f. M a pour
coordonnées (x ; f(x)).
10 En notant la courbe de f, avec x ∈ [– 1 ; 1], M ∈
équivaut à y = 1– x 2
1 10 t
y et 1– x 2 sont deux nombres positifs.
c) Le maximum du salaire total de l’ouvrier est de 90 e ; Donc y = 1– x 2 équivaut à y2 = 1 – x2
l’ouvrier doit travailler 10 heures. soit x2 + y2 = 1.
29
que a b. 2
y0
x2 + y2 = 1. Alors :
1
ab–
C’est le demi-cercle de centre 0, de rayon 1 inclus dans 2
le demi-plan défini par y 0. 1
2. • Sur [– 1 ; 0], x x2 et x – x2 ont des sens de varia- a2 b2 (la fonction carrée est décroissante sur :
2
tion contraires, donc x – x2 est croissante sur [– 1 ; 0]. ]– ; 0])
x 1 – x2 et x – x2 ont le même sens de variation
1 1
sur [– 1 ; 0], donc x 1 – x2 est croissante sur [– 1 ; 0] ; a2 – b2 – 0
2 2
1 – x2 0 2
1 1 2
x 1– x 2 et x 1 – x2 ont le même sens de variation 1a2 –
2 1
b2 –
2
sur [– 1 ; 0] ; (la fonction carré est croissante sur [0 ; + [)
donc f est croissante sur [– 1 ; 0]. 1 2 3 1 2 3
• Sur [0 ; 1], x x2 et x – x2 ont des sens de variation 1a–
2
+ b– +
4 21 4
contraires, donc x – x2 est décroissante sur [0 ; 1]. soit f (a) f (b)
x 1 – x2 et x – x2 sont décroissantes sur [0 ; 1] ; 1
donc f est décroissante sur ]– ; – ].
1 – x2 0 2
x 1– x 2 et x 1 – x2 ont le même sens de variation 1
• a, b désignent deux nombres réels de [– ; 0[ tels
sur [0 ; 1] ; que a b. 2
donc f est décroissante sur [0 ; + 1]. Alors :
1
76 a) On subdivise le segment [a ; b] avec un pas de – a b 0.
b–a 2
. 1
N a2 b2 (la fonction carré est décroissante sur ]– ; 0])
2
On étudie le signe du produit :
1 1
1F (x + pas) – F (x) × F (b) – F (a), ce qui permet de
1 1 1 1
0 a2 – b2 –
2 2
s avoir si F1(x + p) – F1(x) est du même signe que 1 2
1 2
F1(b) – F1(a). 1a2 –
2 1
b2 –
2
Ce programme permet de savoir si F1 est monotone sur (la fonction carré est décroissante sur ]– ; 0])
[a ; b] ou pas. 1 2 3 1 2 3
b) Ce programme est pertinent lorsque
1a2 –
2
+ b2 – +
4 12 4
F1(b) – F1(a) ≠ 0. soit f(a) f (b)
1
donc f est décroissante sur ]– ; 0].
77 1. Il semble y avoir deux points pour lesquels la 2
1
distance AM est minimale.
Les points ont une abscisse opposée :
On montre de même que f est décroissante sur 0 ; 2
1
x – 0,7 et x 0,7 et croissante sur
2
; +
2. Dans le repère orthonormé dans lequel est tracée 3,
A a pour coordonnées (0 ; 1) et M a pour coordonnées 1 1
(x ; x2). x – − 0 +
2 2
Alors AM2 = (x – 0)2 + (x2 – 1)2
= x2 + x4 – 2x2 + 1 1
= x4 – x2 + 1 f (x) 3 3
3. Le sens de variation de f sur R est déterminé par le 4 4
1
1
signe de x2 – (car la fonction carré est décroissante
2 1 3 4 2
sur ]– ; 0] et croissante sur [0 ; + [) et par le signe de x.
1 1 1
1
4. a) f (x) = x4 – x2 +
4 4
+ = x – x + 1 = AM2
• Sur ]– ; – ] et sur [ ; + [, la fonction x x2 –
2 2 2 Donc AM étant minimale, si et seulement si, AM2 est mini-
est à valeurs positives. 1 1
male, AM est minimale lorsque x = – et x = .
1 1 1 2 2
• Sur – 2
;
2
x x2 – est à valeurs négatives.
2 3
b) La distance minimale est alors égale à .
4
30
O ∆’
–1 1 0 1 1
A M H B 2 2
31
32
3 Dérivation et problèmes
y –y Or (u2)’ = 2u’u
Figure de droite : m = B A .
xB – xA Pour tout nombre réel x : u’(x) = 6x + 2
donc f’(x) = 2(6x + 2)(3x2 + 2x – 5)
2 a) m = 3 - 1 = 1
4-2 = 4(3x + 1)(3x2 + 2x – 5)
3−1 1
b) m = =–
–1–3 2
c) m = 0
d) m = 2 + 1 = – 3
–1 - 3 4
3 Équation de la tangente T à # au point A :
y = f’(a)(x – a) + f (a)
O 1
TA B
35
36
b) d est une fonction polynôme dérivable sur [0 ; 5] et Pour 1,12 l’erreur commise est de 0,01.
d’(t) = – 8t + 40 Pour 1,012 et 0,992 elle est de 0,0001.
donc d’(0) = 40 qui est le coefficient directeur de la
tangente T à en 0.
3. a) La vitesse, juste avant le freinage, c’est-à-dire à 7. Exercices d’entraînement
l’instant t = 0, est d’(0) = 40 soit 40 m.s–1. 37 1. Pour tout nombre réel h ≠ 0
Sur le graphique, c’est le coefficient directeur de T. f (a + h) – f (a) (a + h)2 – a2 2ah + h2
b) Si elle n’avait pas freiné pendant 5 secondes, la voiture = = = 2a + h
h h h
aurait parcouru 5 × 40 = 200 m. Quand h se rapproche de 0, 2a + h tend vers 2a, donc f
Sur le graphique, c’est l’ordonnée du point de T d’abscisse 5. est dérivable en a et f’(a) = 2a
c) Le temps nécessaire pour parcourir 50 m après le début 2. Le coefficient directeur de la tangente au point d’abs-
du freinage est solution de l’équation cisse a est f’(a). On cherche donc s’il existe des nombres
– 4t2 + 40t = 50 3
réels a tels que f’(a) = – 3, c’est-à-dire 2a = – 3, soit a = – .
2t2 – 20t + 25 = 0 2
3
D = 400 – 200 = 200 D0 Au point d’abscisse – , la tangente à a pour coefficient
2
Ce polynôme a 2 racines directeur – 3.
20 – 200 10 – 5 2 u 1
t1 = = , d’où t1 1,5 38 1. = u ×
4 2 v v
1 1
20 + 200 10 + 5 2 u et sont dérivables sur I donc le produit u × est
t2 = = , d’où t2 8,5 v v
4 2 dérivable sur I lorsque v ≠ 0.
Seul t1 est dans l’intervalle [0 ; 5].
La vitesse moyenne à l’instant t1 est d’(t1) = – 8t1 + 40 u 1 1
soit environ 28 m.s–1. Graphiquement, cette vitesse 1 v = u ×
v
+u×1
v
correspond au coefficient directeur de la tangente à 1 – v uv – uv
= u × +u× 2 =
au point d’abscisse t1. v v v2
2. a) f est une fonction rationnelle définie et dérivable
36
sur ]– 1 ; + ∞[
1. a) Valeurs approchées exactes u
f = avec u (x) = 2x – 1 u’(x) = 2
1,12 2 × 1,1 – 1 = 1,2 1,21 v
v (x) = x + 1 v’(x) = 1
1,012 2 × 1,01 –1 = 1,02 1,0201 donc pour tout x – 1
0,952 2 × 0,95 – 1 = 0,9 0,9025 2(x + 1) – (2x – 1) 3
f(x) = =
0,992 2 × 0,99 – 1 = 0,98 0,9801 (x + 1)2 (x + 1)2
b) a = 2
b) Interviennent dans ce problème la fonction carrée f 2×2–1
et la fonction affine g définie par g(x) = 2x – 1. f (a) = =1
2+1
37
38
1 1
3a – 2a + 4 = 3 a=–1 + 0
0 + 2a a 1
ainsi a = – 1 et b = – 3
2
;
2
= a ;
a
c’est donc bien le point M.
on a donc
f (x) = – x3 – 3x2 + 20. 47 1. a) Pour tout nombre réel h 0
45 a) f est une fonction rationnelle dérivable sur f (h) – f (0) h – 0 1
= =
2 2 h h h
3
– ∞ ; et sur ; + ∞
3 b) • Pour que
1
100, il suffit que
1
5h , donc il
u h 100
f = avec u(x) = ax2 + b
v
v(x) = 3x – 2 suffit que h 10–4.
1
2 • Pour que 105, il suffit que 10–5 h5 , donc il
Pour tout nombre réel x ≠ , u(x) = 2ax et v(x) = 3 h
3
donc
2ax (3x –2) – (ax2 + b)3 suffit que h 10–10.
f(x) = f (h) – f (0)
(3x – 2)2 c) Le quotient admet une limite infinie quand
3ax – 4ax – 3b
2 h
= h se rapproche de 0, donc f n’est pas dérivable en 0.
(3x – 2)2
b 2. a)
b) f (0) = 1 donc = 1 et b = – 2
–2
f(1) = 0 donc 3a – 4a – 3b = 0
–a=–6
a=6
6x2 – 2
on a donc f (x) =
3x – 2
46 1. a)
1
f(x) = – 2
x
La tangente à au point d’abscisse a a pour équation
y = f(a) (x – a) + f (a)
1 1 b) p devient de plus en plus grand quand M se rapproche
a = 2 f (2) = f (2) = –
2 4 de 0.
–1 1
T : y = (x – 2) + c) L’axe des ordonnées est tangente à en 0.
4 2
39
1
a2 + b2 f’ (x) = 3x2 + 6x + 3
+ ab a+b a+b 2
coordonnées a + b ; 2
2 2
= 12
;1 2 a) Vrai. f’ (–1) = 3 – 6 + 3 = 0
b) Vrai. T a pour équation :
yM = xM donc M ∈ .
2
y = f’ (0)(x – 0) + f (0)
Les points I, J, M ont la même abscisse et la droite (IJ) y = 3(x – 0) + 1
est verticale. y = 3x + 1
3. Pour tracer la tangente T à en M d’abscisse a, on 2. a) Vrai. g est une fonction rationnelle dérivable sur
place sur deux points A et B d’abscisse a – h et a + h, ]– ; 2[
avec h réel quelconque. T est la parallèle à (AB) passant
g = u avec u(x) = 2x – 1
par M. v
v(x) = x – 2
variation de l'ordonnée −3
en A est m = = =–3
variation de l'abscisse 1 A
–3
42
()
donc sur ]– ; 0[, d(x) < 0 et est au-dessous de T et sur 1 ’ –v ’
]0 ; + [, d(x) > 0 et est au-dessus de T. = 2
v v
69 a) f est une fonction polynôme dérivable sur . Pour tout x ≠ – 2, v’ (x) = 1
Pour tout nombre réel x, −1 –3
donc f’ (x) = 3 × =
f’ (x) = – 3x2 – 10x +
1 (x + 2)2 (x + 2)2
2
T a pour équation y = f’ (a)(x – a) + f (a)
b) g = uv avec u(x) = – 2x + 3
−3 −1
v(x) = x f (1) = 1 f’ (1) = =
9 3
u et v sont deux fonctions dérivables sur ]0 ; + [ donc 1
g est dérivable sur ]0 ; + [ T : y = – (x – 1) + 1
3
(uv)’ = u’v + uv’ 1 4
Pour tout nombre réel x > 0 et u’(x) = – 2 y=– x+
3 3
1
v’(x) = 2. On conjecture qu’il existe un autre point M d’abscisse
2 x
1 – 5 où la tangente est parallèle à T.
donc g’ (x) = – 2 x + (– 2x + 3) 2
x
−4 –2x + 3
= x
2 x
−6x + 3
=
2 x
c) h est une fonction rationnelle dérivable sur ]– ; 1[
et sur ]1 ; + [ 3. Deux droites (non parallèles à l’axe des ordonnées)
u sont parallèles si, et seulement si, elles ont le même
h = avec u(x) = 2x2 + 5 et v(x) = x – 1
v cœfficient directeur. On cherche donc s’il existe un autre
()
u ’ u’v –uv'
v
=
v2
réel x tel que
1 –3 1
Pour tout x ≠ 1, u’(x) = 4x v’(x) = 1 f’ (x) = – . Ce qui revient à =–
3 (x + 2)2 3
4x(x –1)–(2x 2 + 5)
donc h’ (x) = ou encore (x + 2)2 = 9.
(x –1)2
Ainsi x + 2 = 3 ou x + 2 = – 3
h’ (x) = 2x – 4x2–5
2
Au point d’abscisse x = – 5, la tangente à est parallèle
(x –1) à T.
d) k = u2 avec u(x) = – 4x2 – 9x + 17
u est une fonction polynôme dérivable sur , donc k est
dérivable sur . 10. Exercices d’approfondissement
(u2)’ = 2uu’
Pour tout nombre réel x, u’ (x) = – 8x – 9 71 1. f est une fonction polynôme dérivable sur .
donc k’ (x) = 2(– 8x – 9)(– 4x2 – 9x + 1) Pour tout nombre réel x, f '(x) = 3x2 – 3
3 1 T a pour équation
e) ℓ = − 2 × v avec v(x) = x
y = f '(a)(x – a) + f(a)
v est dérivable et non nulle sur ]0 ; + [ donc ℓ est déri-
1
vable sur ]0 ; + [ a=
2
()
1 ’ –v’
v
= 2
v f
1
21 =–
3
8 1
f'
1
2
=
–9
4
43
d(x) = (x + 1) x –
1 2
1
4
1
de f en , c'est-à-dire f '
2
1
2
.
2 3. a) T a pour équation :
b)
1 y = f'(a)(x – a) + f(a)
x – – 1 +
2 3 1 3
y=– x– +
x+1 – 0 + + 3 2 2
3 2 3
1x – 12
2
+ + 0 + y=– x+
3 3
2 3
d(x) – 0 + 0 + b) T coupe l'axe des ordonnées au point B 0 ;
3
Sur ]– ; –1[ d(x) 0 donc est en-dessous de T. OA2 = 1 car OA rayon de
Sur [– 1 ; +[ d(x) 0 donc est au-dessus de T. 4×3 4
OB2 = =
1 9 3
et T ont deux points communs d'abscisses –1 et .
2
1 2 2 3 3 2
AB2 = 0 – + –
2 3 2
= +
1 3 1 3 2
1
= + =
4 6 4 36 3
OA2 + AB2 = OB2 donc le triangle OAB est rectangle en
72 1. a) f est dérivable sur ]0 ; + [ et pour tout x > 0 A et (T) (OA).
1 4. La tangente en A au demi-cercle est en ce point
f’(x) = . perpendiculaire au rayon.
2 x
Deux droites (non parallèles à l'axe des ordonnées) sont 74 1. Il semble que M soit le milieu de [AB].
parallèles si, et seulement si, elles ont le même coefficient 2. a) T a pour équation :
directeur et f’(a) est le coefficient directeur de la tangente y = f'(a)(x – a) + f(a)
à au point d'abscisse a. On cherche donc s'il existe un 1 1
1 y = – 2 (x – a) +
1 a a
réel a > 0 tel que = 1 ce qui revient à 5a = ou
2 a 2 1 2
1 y = – 2x + .
a = . a a
4 1
Au point d'abscisse , la tangente à est parallèle à la
4
b) T coupe l'axe des ordonnées au point A 0 ; .
2
a
droite d'équation y = x. 1 2 2 a2
Si y = 0 alors – 2 x = – et x = × = 2a.
1 a a a 1
1
b) L'équation = 100 est équivalente à = 5a ou T coupe l'axe des abscisses au point B(2a ; 0).
2 a 200
1 c) Le milieu de [AB] a pour coordonnées
a = .
400
2
1 1 +0
e) L'équation
a = 2 500.
2 a 100
= est équivalente à 50 = 5a ou 0 + 2a a
2
;
2 a1 . M est donc le milieu de [AB].
= a ;
2. Soit λ ∈ R, l > 0
44
f(x) = si x > 1
1
1
si 0 x <1 M
x
10 V(20)
b)
1000
45
f (a + h) – f (a)
lorsque h se rapproche de 0, la calculatrice Sa limite quand h tend vers 0 est f(1).
h f (a + h) – f (a – h) Or f(x) = 2011x2010
effectue le calcul
2h (1 + h)2011 – 1
en prenant h = 10–3. donc lim = 2011.
h→0 h
1
79 Calculer pour h proche de 0, revient à calculer
1+h 81 Il suffit de prouver que pour tout nombre réel
l’inverse d’un nombre proche de 1.
f (x) – g (x) est constant.
La fonction inverse est dérivable en 1 et sa courbe re- 3x2 + 5 – 1 – 5x + 4
présentative admet au point d’abscisse 1 une tangente f (x) – g (x) =
x2 + 1
d’équation :
3x2 + 3
y = f(1) (x – 1) + f (1) = 2 = 3.
x +1
y = – (x – 1) + 1
4 Applications de la dérivation
et problèmes
1. Page d’ouverture b) Pour tout nombre réel x,
2x –10x
g (x) = –5 ×
• Énigme* 2 2
=
(3+ x ) (3+ x )
2 2
4
x –3 0 2 5 9
g (x) + 0 – 0 + x –1 3 5
g(x) –1 1 2 f(x) – 0 +
0 1
1
f (x) 2
5 –1
2
h 10
1
–1 3
O 2
1 4
1
–4
–2
–2 0 1 5
–3
C04_fig19b 40 x 35
6 a) Pour tout nombre réel x, x ≠ – 1, f
2(x +1)–(2x + 3) –1 –3
g’ (x) = =
( x +1)2 ( x +1)2
b) Pour tout nombre réel x, x ≠ – 1, g’ (x) < 0.
11
c)
x – –1 + x –8 –4 2 8
g(x) – – f(x) + 0 – 0 +
f (x) – 1 4 6
g (x) 1
48
f (x)
b)
f (x)
b)
49
f 6. Travaux pratiques
2 31 1. b) Lorsque t varie de 1 à 2, l’aire du triangle
OMN diminue. À partir de t = 2, l’aire augmente lorsque
1
t augmente.
–1 1
2. a) La droite (AM) a pour équation y = (x – t) donc
–3 O 1 4 1–t
t
l’ordonnée du point N est égale à .
t–1
1 t t2
b) L’aire du triangle OMN est égale à t × = .
2 t – 1 2(t – 1)
26 f admet un maximum local en –1 égal à 2 et un c) Pour tout nombre réel t de ]1 ; + ∞[,
minimum local en 1 égal à –1. 2t × 2(t – 1) – t2 × 2 2t2 – 4t 2t(t – 2)
S'(t) = = = .
4(t – 1)2 4(t – 1)2 4(t – 1)2
27 a) Pour tout nombre réel x,
f’ (x) = 6x2 – 2x – 4 = 2(3x2 – x – 2) t 1 2 +
= 2(x – 1)(3x + 2) S(t) – 0 +
2
x – – 1 + S(t)
3
f(x) + 0 – 0 + 2
125 e) Les conjectures émises à la question 1 sont donc ainsi
f (x)
27 0 validées.
50
x –∞ +∞
7. Exercices d’entraînement
f’ (x) +
33 1. a) • Si h 0, f (x + h) f (x) donc
f (x)
f (x + h) – f (x)
0
h b) Une équation de T est :
• Si h 0, f (x + h) f (x) donc y = f (0) x + f (0)
f (x + h) – f (x) y = 2x + 3.
0
h c)
f (x + h) – f (x)
b) f dérivable en x signifie que tend vers
h
un nombre réel lorsque h tend vers 0.
c) Donc, pour tout nombre réel x de I, f (x) 0.
d) Si f est croissante sur I alors pour tout nombre réel x
de I, f (x) 0. d) Pour tout nombre réel x,
2. a) u est croissante et positive sur [– 2 ; + ∞[ f (x) – (2x + 3) = x3.
donc f = 5u est croissante sur [– 2 ; + ∞[. Si x 0 alors f (x) 2x + 3 et si x 0 alors f (x) 2x + 3.
b) est au-dessous de T sur ]– ∞ ; 0] et au-dessus de T sur
[0 ; + ∞[.
37 a)
51
*
a = –1 a=–1
3a + b = –2 *b = 1 b) Pour tout nombre réel x, f (x) 0.
3b + c = 4 c=1
x –∞ +∞
3c = 3
Pour tout nombre réel x, f(x) +
f (x) = (x + 3)(– x2 + x + 1).
f (x)
c) f (x) = 0 équivaut à x + 3 = 0 ou –x2 + x + 1 = 0.
Les solutions de l’équation sont : c)
1+ 5 1− 5
–3 ; ;– .
2 2
1
40 a) f est la fonction définie sur ]0 ; + ∞[ par f (x) = x+ .
x
1 x2 – 1
Pour x 0, f (x) = 1– 2 = . Si x ∈ ]0 ; 1], f
(x) 0 2. a) Pour x ∈ [1 ; + ∞[, g(x) = f ( x ) .
x x2
donc f est décroissante sur ]0 ; 1]. f est croissante et positive sur [1 ; + ∞[ donc g est crois-
Alors f (0,9999) f (0,999), c’est-à-dire : B A. sante sur [1 ; + ∞[.
x2
b) f est la fonction définie sur [0 ; + ∞[ par f (x) = . x 1 +∞
1+x
2x (1 + x) – x2 x (x + 2)
Pour x 0, f (x) = = .
(1 + x)2 (1 + x)2 g (x)
0
Donc f (x) 0 et f est croissante sur [0 ; + ∞[.
Alors f (1,088) f (1,089), c’est-à-dire : B A. 1
b) Pour x ≠ 1, h(x) = .
f(x)
41 1. Le coût moyen de fabrication d’un objet est f ne s’annule pas et est croissante sur chacun des inter-
c(q) 2 700 valles ]– ∞ ; 1[ et ]1 ; + ∞[ donc h est décroissante sur
= 3q + 50 + avec q ∈ N*.
q q ]– ∞ ; 1[ et sur ]1 ; + ∞[.
52
x 0 a +
S(x) – 0 +
S(x)
S(a)
45 1. a) Pour tout réel x,
f (x) = 6x2 – 6x = 6x(x – 1). d) a ≈ 11,7 cm.
53
54
b) On lit BE ≈ 0,62. c) L’affirmation est fausse. En effet, pour tout nombre
2. a) Avec le théorème de Thalès : 4x 3
réel x, f ’(x) = – 4 .
(x +1)
2
BI BE BI x x
= , = . Donc : 59 a) Pour x > 0, f (x) =
AF EA 1 – x 1 + x x
1+
x – x2 1
BI = . (1+ x)− x
x+1 2 x 1– x
1 x – x2 1 x2 – x3 et f’ (x) = =
b) Donc S(x) = x × = . ( ) (
2 x+1 2 x+1 1+ x 2
2 1+ x )2 x
3. a) Pour x ∈[0 ; 1],
Pour x ∈ ]0 ; 1], f’ (x) 0 donc f est croissante sur ]0 ; 1].
x (x2 + x – 1)
S(x) = – . Ainsi : f (0,345) f (0,346), c’est-à-dire :
(x + 1)2
b) 0,345 0,346
x 0 ( 5 – 1)/2 1 1,345
1,346 .
S(x) 0 + 0 –
L’affirmation est fausse.
S (x) b) f est décroissante sur [– 1 ; 6], alors pour tout nombre
0 0 réel x de [– 1 ; 6], f (6) f (x) f (– 1) c’est-à-dire :
5 –1 – 1 f (x) 5.
c) L’aire est maximale pour x = . Donc l’affirmation est vraie.
2
Avec la calculatrice ou un logiciel de calcul formel c) Pour tout nombre réel x, f’ (x) = 5x4 + 3x2 donc f’ (x) 0.
a) et b) f est croissante sur ℝ et donc n’admet pas d’extremum
L’aire est maximale pour x 0,618034. local en 0.
d) Pour tout nombre réel x de ]– ; 0[,
2x 2
f’ (x) = – 4 = – 3 donc f’ (x) 0.
x x
9. Auto évaluation pour se tester
Ainsi f est croissante sur ]– ; 0[.
L’affirmation est vraie.
QCM
56 1. La réponse exacte est c). Se préparer au contrôle
2. La réponse exacte est b).
60 a) Pour x ∈ ℝ*,
3. La réponse exacte est b).
1 4x 2 –1 (2x –1)(2x +1)
57 1. Pour tout nombre réel x, f’ (x) = 4 – = =
x x x
2 2 2
f’ (x) = 3x2 + 12x = 3x(x + 4)
b) et c)
x – –4 0 +
1 1
f’ (x) + 0 – 0 + x – – 0 +
2 2
La réponse exacte est b). f (x) + 0 – – 0 +
2. Pour tout nombre réel x, x ≠ 0, –9
f (x)
4 (x –2)(x + 2) –1
f’ (x) = 1 – 2 =
x x2
55
56
x – x 1 x +
f m (x) + 0 – – 0 +
fm (x)
67 1. a) MN2 = MC2 + CN2
= (1 – x)2 + (1 – y)2 2. fm admet un maximum et un minimum locaux lorsque
= (x2 + y2 – 2x – 2y + 2. m – 1.
b) AM = AD + DM2 = AT2 + MT2, or AD = AT
2 2
57
58
59
5 Suites et problèmes
59
1 + q + q2 + … + qn =
1− qn +1 5. Exercices de base
1– q
12 u0 = 5 ; u1 = 3 ; u2 = 5 ; u3 = 11 ; u4 = 21.
4
3 y=x
u2
13 u1 = – 2 ; u2 = 2 ; u3 = – 8 ; u4 = 4 ; u5 = – 3 .
3 5
u3
y = – 0,5x + 3
u1 14 u2 = 0 ; u3 = 2 ; u4 = 2 52 ; u5 = 2 53 ; u6 = 4.
O u1 u3 u2 u0 6
15 u4 = 4 ; u5 = 2 ; u20 = 4 ; u100 = 4 .
5 w0 = 0, w1 = 2, w2 = 0, w3 = 2, w4 = 0, w5 = 2. 17 97
16 a) un+1 = 5(n + 1) – 3 = 5n + 2.
2
b) vn + 1 = 2(n + 1)2 – (n + 1) – 1
g
= 2n2 + 3n
1 n+1–1 n
c) wn + 1 = =
n+1+1 n+2
O
W0 = 0
W2 1
W1 = 2
W3
d) tn + 1 =
( )
2 n +1 +1 = 2n + 3
W4 W5
17
6 Avec la calculatrice, v10 = –7 846. L’affirmation est
exacte.
60
24 v0 = 2 donc v1 = 1 1
=
1 + v0 1 + 2
1 1 3
v1 = ·v = =
3 2 1 4
1+
3
1 1 4
v3 = = = .
1 + v2 3 7
1+
4
20 a) et b) Le programme calcule et affiche les N + 1
i2 25 u2 = 2u1 – 1 donc
premières valeurs de – 5, i variant de 0 à N.
2 1
Pour tout entier naturel n, un =
n2
– 5.
u1 =
2 u + 1
2
2 1
=
2 4 + 1 = 52
1
un =
2 u + 1 donc de la même manière,
n+1
1
u0 =
2 52 + 1 = 74
u3 = 2u2 – 1 = 7.
1
26 a) f est définie sur par f (x) = x + 2.
x2 2
c) Pour tout réel x 0, f (x) = – 5.
2
4
21 a) Pour tout entier naturel n ≠ 0, un = 1 . 3
n2 f
b) 2
1
u0 =1 u1 u2 u3
O 1 2 3 4
b)
61
( )(
7 7
) (7
= u0 + u0 + 2 + u0 + 2 × 2 + … + u0 +10× 2 ) et u10 = u6 × (– 2)4 = 192 × 16 = 3 072.
1 5 1 9
7 1 793 53 a) 10 1−
= 11 × u0 + 2 × (1 + 2 + 3 + … + 10) = 8 2 2
62
7. Exercices d’entraînement
58 1. Voir cours.
1 1
2. a) u0 + u1 + … + u100 = u0 + u0 + + … + u0 + 100 ×
56 1. a) Pour tout entier naturel n, un + 1 = un + 120. 4 4
1
(u) est arithmétique de raison 120.
b) Pour tout entier naturel n, vn + 1 = 1,0083 vn. (v) est
= 1001u0 +
4
1 + 2 + … + 100
1 100 + 1001
géométrique de raison 1,0083. = 101 × 5 +
4 2
2. = 1 767,5.
59 1. Voir cours.
1 1
60
2. a) v0 + v1 + … + v60 = v0 + v0 × + … + v0 ×
3 3
1 1 60
= v0 1 + + … +
3 3
61
1
1−
3
=7×
1
1−
3. Il suffit d’afficher les gains cumulés pour valider 3
l’affirmation du DRH. = 10,5.
63
64
65
()
2
8 3
2 b) Faux, u est géométrique de raison 4 .
1−
2 2 2 2
8 Pour tout entier naturel n 1,
=
2
×
2
=
2− 2
× 1– 2 3
2
() 9
un+1 = 4 × un = 16 × un.
1−
2
( )
n –1
9
c) Sn est l’aire du polygone A0 A1 … A8. c) Faux, en fait un = 16 .
1 1 d) u1 + u2 + … + u8
Sn = (A0A1 × OA1) × + (A1A2 × OA2) × + … + (A7A8
2 2
( )
7
1 9 9
× OA8) × = u1 + u1 × 16 + … + u1 ×
2 16
( )
1 1 1 9
7
= u1 × + u22 × + … + u82 ×
2 9
2 2 2 = u1 1+ 16 +…+ 16
1
( )
= u 2 + … + u82 8
2 1 9
( )
1–
16 = 16 1– 9
2 8 8
1 1 1 1
=
2 2
+
2
+…+
2 =
1–
9 7 16
n 2 2 n n 16
2 1 2
En effet, un2 =
2
=
2
, pour tout n ∈.
2
= donc l’affirmation est vraie.
7
1 1 1 1
Conclusion : S1 = × × 1 + + … +
2 2 2 2 Se préparer au contrôle
8
1 79 a) f est définie sur [0 ; + [ par :
1−
1 2 f (x) = 0,25x2 – 3x + 2.
= ×
4 1 b) et c)
1−
2 M0
8 2
1 1
= × 1–
2 2 1
O 1 2 3 4
M1
–1
9. Autoévaluation pour se tester –2
–3 M2
QCM
–4
M3
75 1. b) u est arithmétique de raison 5. –5
1 –6 M4
2. a) car v66 = –2 + 66 × = 20.
3 –7 f
3. a)
66
67
u0 u1 u2 coordonnées ;
20 20
O 1 2 2. a) Le coefficient directeur de la droite (AnBn) est égal à
bn2 – an2
d) u0 = 0 ; u1 = f (0) = 1 ; u2 = f (1) = 2 et u3 = f (2) = 0 donc = bn + an
bn – an
on construit ainsi une suite périodique 0, 1, 2, 0, 1, 2, …
De même, celui de la droite (An + 1 Bn) est égal à
e) On remarque que, pour tout entier naturel k, u3k = 0
an + 12 – bn2
donc u3 001 = 1 car 3 001 = 3 × 1 000 + 1. = an + 1 + bn
an + 1 – bn
87 1. a) C1 a pour aire u12 = 1. b) Donc, pour tout entier naturel n,
1 1
C2 a pour aire u22 = (1 + 2)2 = 9 et C3 a pour aire : an + 1 + bn = et an + bn = –
4 5
u32 = (1 + 2 + 3)2 = 36. 1 1 9
b) Pour tout entier n 1, l’aire de Cn vaut : On obtient : an + 1 – an = + = . Donc a est arithmétique
4 5 20
un2 = (1 + 2 + … + n)2 9
de raison .
20
n (n2+ 1) = n (n4+ 1)
2 2 2
= 9 9n
c) Pour tout entier naturel n, an = a0 + n × = + 1
20 20
c) L’aire de la bande bleue est égale à la différence entre –1 – 1 9n – 9n 6
et bn = – an = – –1= – .
l’aire de Cn et celle de Cn – 1 donc vaut : 5 5 20 20 5
n2 (n + 1) 2 (n – 1)2 n –9
un2 – un – 12 = – = n3 d) Quel que soit n ∈, bn + 1 – bn = donc la suite b est
4 4 20
arithmétique
–9
de raison .
20
89 a)
n 1 2 3 4
Cn 3 12 48 192
2. a) L’aire du carré de côté un est égale à
un2 = (1 + 2 + … + n)2
b) Pour tout n 1, comme chaque segment de l’étape n
Mais elle est aussi égale à la somme des aires des diffé-
en produit 4 à l’étape suivante, Cn + 1 = 4 Cn. La suite C est
rentes bandes qui composent ce carré.
géométrique de raison 4. Ainsi pour tout n 1,
D’après ce qui précède, cette aire est donc aussi égale
Cn = 3 × 4n – 1.
à 13 + 23 + … + n3
2. a) Pour tout n 1, comme chaque nouveau segment
D’où l’égalité.
de l’étape n + 1 a une longueur égale au tiers d’un seg-
b) On a demandé au logiciel d’afficher le carré de la
1
somme des n premiers entiers, puis la somme des cubes ment de l’étape n, un + 1 = un.
3
des n premiers entiers. 8
u est géométrique de raison et pour tout n 1,
Les deux résultats affichés sont les mêmes. On retrouve 3
1
l’égalité de la question 2. a). un = n– 1 .
3
88 1. A0 a pour coordonnées (1, 1). B0 est le point 4 n–1
d’intersection de la droite (A0B0) avec 3, différent de A0. b) Pour tout n 1, pn = Cn × un = 3 × 1
3
.
–1 2
Le coefficient directeur de la droite (A0B0) vaut et est 1 2 1 3
5 3. a) a1 = × 1 × 1 – =
yB – yA xB 2 – 1 2 2 4
égal à x 0 – x 0 = 0 = xB + 1
B
0
A x –1
0 0 B b) Pour tout n 1, comme un triangle équilatéral de
0
–1 –6 53 2
Donc xB = –1= . côté L a une aire de L2a1 = L,
0 5 5 4
– 6 36
B0 a pour coordonnées 5 ;
25. an + 1 – an = Cn ×
53
u 2
4 n+1
68
69
• Énigme**
Le capital obtenu après n années de capitalisation est
égal à 100 × 1,037n. À l’aide du tableur, on remarque que
celui-ci peut atteindre n’importe quelle valeur pourvu 5
que n soit suffisamment grand. Donc la réponse est oui. n 0 1 2 3 4 5 6 7
un 1 1,4142 1,731 2 2,2361 2,4495 2,6458 2,8284
vn 6 7,2 8,04 8,628 9,0396 9,3277 9,5294 9,6706
2. Vérifier les acquis
1 1. a)
x – ∞ + ∞
f(x)
b)
x –1 + ∞
f(x)
f(x)
72
1
1 2 3
0
–1
–2
–3
73
74
75
n
17 1
1−
35 a) Pour tout entier naturel n, un = f (n) où f est la 64 1 1 n – 1 64 4
fonction définie sur [0 ; + ∞[ par f (x) = x3 + x2 + 9x + 2.
=
4 1+ +…+
4 1
4
= ×
4 1
1−
Or, pour tout x 0, f (x) = 3x2 + 2x + 9 0 donc f est 64 1 n
croissante sur [0 ; + ∞[ donc u est croissante.
=
3 1
1–
4
4
76
1 12 1 2
n–1
41 1. Cn = C1 × = et dn = 25 × Cn = .
2 n–1 2 n−1
n+1 n+1 n
n
is greater than 1 so 1
n
too.
n + 1 is also greater than 1 so the product will be greater
than one, and the sequence is increasing.
1
b) vn = f(n) with f(x) = . To study the monotony of b) L’algorithme détermine et affiche le premier rang n à
3 + n2
this sequence we can study the monotony of f for the partir duquel un M, M étant une valeur lue en entrée.
positive values of x.
50 a) Fausse. Si u0 0, alors u est décroissante.
2x
f ’(x) = so f is decreasing for x greater than 0, and b) Vraie. Pour tout entier naturel n, un + 1 – un = r 0.
3 + x2
the sequence is also decreasing. c) Fausse. Si q 0, on alterne le signe de un. Exemple :
c) We have wn + 1 – wn = 5n² + 1, and 5n² + 1 is positive for un = (– 1)n.
any whole number n. d) Vraie. Pour tout entier naturel n, un + 1 – un = r.
So this sequence is increasing. Si r 0, (u) est décroissante. Si r 0, (u) est croissante.
78
79
Se préparer au contrôle
b) On conjecture que la suite u n’est ni croissante, ni 2. b) La suite (wn) n’est ni croissante, ni décroissante. En
décroissante. effet, w0 = 1,6666 ; w1 = 1,6 et w2 = 1,625.
c) On conjecture que la limite de u est environ 655. c) a pour valeur approchée 1,6180339887.
80
b)
x 0 30 + ∞
f’ (x) + 0 –
2. a) E1 n’atteint pas l’objectif car (tn) est croissante.
f (x) b) E2 n’atteint pas l’objectif car (tn) est décroissante mais
tend vers 440, donc ne descend pas en-dessous de 400.
c) La suite u est donc croissante pour n compris entre 0 E3 atteint l’objectif car (tn) est décroissante et passe sous
et 30 puis décroissante à partir de n = 30. les 400 mg.L– 1 à partir du rang n = 7.
66 a) b) Il faudra que E3 applique 7 fois le traitement.
68 1. a) b) Les points Qn sont au-dessus des points
Pn donc un vn.
2. a) Pour tout entier naturel n, n ≠ 0,
1 1
vn = n 4 + n2 = n4 1+ 2 = 1+ 2 × n 4 = n2 1+ 1 .
n n n
b) u0 = 0 et vo = 0.
1
c) Pour tout entier naturel n, n ≠ 0, 1 + 2 > 1
n
1 1
donc 1+ > 1 et n2 0 donc n2 1+ > n2
n 2 n
81
1
1 1 1 1 1
An = × + +…+ +
n
1 n1 1 n2 1 n n– 1 1 nn
2 2 2 2
1+ 1+ 1+ 1+
1
1 1 1 1
Bn = × + +…+
n
1 n0 1 n1 1 n n– 1
2 2 2
1+ 1+ 1+
69 1. a) A1 = 0,2 × 0,2 + 0,2 × 0,4 + … + 0,2 × 0,8
2 2 2
u
3. Activités d’approche
A
B 1. 1 a) vc = 2uc donc uc et vc sont colinéaires.
1
j
b) vc = cu donc uc et vc sont colinéaires.
O i 2
1
M c) v = – cu donc uc et vc sont colinéaires.
c
c c 4
b) AM = u si et seulement
C07_fig25 si 2 3
d) ≠ donc uc et vc ne sont pas colinéaires.
35 x 30
{x –(–1) = 4
y –2 = –3
c'est-à-dire {
x =3
y = –1 e)
2 –1
24 36
2
= donc uc et vc sont colinéaires.
3
89
90
9 − 5 × ( – 2 ) – 2 ×1 = 0 donc d // d’.
1 5 1 : Input “T =”, T
: Input “U =”, U
:X×U–Y×T→R
10 Florent : 2 × 3 – 2 – 4 = 0 : If R = 0
2 × (– 1) – (– 2) – 4 = – 4 ≠ 0 : Then
Donc (AB) n’a pas pour équation 2x – y – 4 = 0. : Disp “VECTEURS COLINEAIRES”
Paul : (AB) n’a pas pour équation 2x – y – 4 = 0 car – 6 ≠ – 2. : Else
91
92
2
c) x + 3 = 3x – 4 ⇔ 7x = 21
3
⇔x=3
y=3×3–4=5 b) On remarque, que quelle que soit la position de M0
d’où A(3 ; 5). sur (AB), M0 = M6, M1 = M7, …
32 TA = 0,5t + 30 2. a) (AB) : y = 0 (BC) : x + y – 1 = 0
TB = 0,2t + 60 (AC) : x = 0
TA = TB ⇔ 0,5t + 30 = 0,2t + 60 ⇔ t = 100 b) (BC) : x + y – a = 0
Au bout de 1 minute 30 secondes les deux liquides seront M1(0 ; a)
à la même température. c) M2(1 – a ; a), M3(1 – a ; 0)
d) Une équation de la droite passant par M3 et parallèle
33 a) 3 × 4 – 1 × (– 1) ≠ 0 donc uc et vc ne sont pas
à (BC) : x + y – 1 + a = 0
colinéaires.
c = auc + bv.
c M4(0 ; 1 – a)
b) w
c c (5 ; 7) e) M5(a ; 1 – a), M6(a ; 0).
w (3a + b ; – a + 4b) et w
f) M0 et M6 ont les mêmes coordonnées donc M0 = M6 et
3a + b = 5 a=1
donc
– a + 4b = 7
ce qui donne b = 2 par suite M7 = M1, …
c = uc + 2v.
w c 38 1. a)
A B A et B
c = – 28uc – 1 v.
34 w c
5 5 J0 J0 + 6 J1
c c c c + ABc Le nombre de jours écoulés entre J0 et J1 pour A : 105u.
35 b) EC = ED + DC = – 2AD
c c c c 1c Le nombre de jours écoulés pour B entre J0 + 6 et J1 : 81v.
CF = CB + BF = – AD + 2 AB Le nombre de jours écoulés entre J0 et J0 + 6 :
c c c
c donc les vecteurs EC 105u – 81v = 6.
c) EC = 2CF et CF sont colinéaires
donc les points E, C et F sont alignés. En simplifiant par 3 on obtient : 35u – 27v = 2.
93
94
96
A C
4
α j
O I i 2,5
• piste 1 : utilisation de la trigonométrie
Après exécution, on trouve les couples : • piste 2 : choix d’un repère
(0 ; 18), (5 ; 16), (10 ; 14), (15 ; 12), (20 ; 10), (25 ; 8), (30 ; 6), b) Piste 1 :
(35 ; 4), (40 ; 2) et (45 ; 0). AI BC AI × AB
sin a = = donc OA =
OA AB BC
55 1. a) Les deux boules ont la même vitesse
AB = 2, 52 + 1, 52 = 8,5 55
(constante) donc les distances parcourues par chacune
d’elles jusqu’à la collision sont les mêmes : AI = OI. OB = OA + AB
Le triangle OAI est donc isocèle en I.
97
+3( ) –1=
13 8 –13+ 24 –11
Les propositions P et Q ne sont pas équivalentes. – =0
11 11 11
64 a) Fausse. b) Fausse. c) Vraie. d) Vraie.
8. Mettre en œuvre une recherche 65 a) Fausse.
D
61 1. a) b) CI
A B
c
C07_fig32c 40 x 10
Dans le repère (B ; BC, BA)
( )
1 c c
I ; 0 A(0 ; 1) D(2 ; – 2) car BD = 2AB + 2BC
2
c
c ( )1 c
AI 2 ; –1 et AD(2 ; –3)
1 c c
× (–3) – 2 × (–1) ≠ 0 donc les vecteurs AI et AD ne sont
2
pas colinéaires donc les points A, I et D ne sont pas alignés.
98
c c c C07_fig33
BD = – 2(BD + DA)
A B
30 x 15
D
c c
b) AM = 2AN donc M
d’où M(224 ; 107)
{ yM –5 = 2 × 51 {
x = 2 ×112 c’est-à-dire xM = 224
yM =107
c c
3c CM(214 ; 107) et ON(112 ; 56).
– BD = c DA. c c
214 × 56 – 112 × 107 = 0 donc le vecteur CM et ON sont
2
c c c 3c c colinéaires donc les droites (CM) et (ON) sont parallèles.
DC = DA + AC = – BD + AC.
2 c
c c c 1c 1 c 69 a) AB(– 6 ; – 5)
BE = BA + AE = – BD + AC. (AB) : – 5x + 6y + c = 0
2 3
c c c c
3BE = DC donc les vecteurs DC et BE sont colinéaires Or A ∈ (AB) donc –5 × 5 + 6 × 2 + c = 0 d’où c = 13.
donc les droites (BE) et (CD) sont parallèles. (AB) : – 5x + 6y + 13 = 0
b) d : y = – 3x + p
c) Vrai
Notons I le milieu de [BC]. ( )2
A ∈ d donc 5 = – 3 × − + p d’où p = 3
d : y = –3x + 3
3
D’après la relation de Chasles :
c c c c c c c c 2
3MA + MB + MC = 5MA + AB + AC = 5MA + 2AI c) d : y = x + p
3
Donc si un tel point existe alors nécessairement 2 22
A ∈ d donc 4 = (– 5) + p d’où p =
c + 2AI
5MA c =0 c = 2c
c donc AM 3 3
5 AI. 2
d : y = x +
22
.
3 3
Réciproquement si AM c = 2c c
c c c c 5 AI on obtient : d) AB(5 ; – 2)
3MA + MB + MC = 0 d : – 2x – 5y + c = 0
A
c ∈ d donc – 2 × 4 – 5 × (– 4) + c = 0 d’où c = – 12.
d : – 2x – 5y – 12 = 0 soit encore 2x + 5y + 12 = 0
M
e) d : – 2x + 5y + c = 0
C ∈ d donc – 2(– 3) + 5 × 2 + c = 0 d’où c = – 16.
I d : – 2x + 5y – 16 = 0.
B C
C07_fig34 30 x 25 70 a) 3 × 2 – 1 × (– 2) ≠ 0 donc cu et cv ne sont pas
66 colinéaires.
Équation Coefficient Vecteur Point
c
cartésienne directeur m directeur u A
Point
B
b) {3a –2b =1
a + 2b = 7
d1 3x + 5y – 19 = 0 –
3
(5 ; –3) (–2 ; 5) (3 ; 2) Par addition, on obtient 4a = 8 soit a = 2.
5 5
2b = 7 – 2 = 5 donc b =
d2 3x + 2y +8 = 0 –3 (–2 ; 3) (0 ; –4) (–2 ; –1) 2
2
Ainsi cw = 2uc + 5 v.
c
3 2
d3 3x – 4y + 5 = 0 + (4 ; 3) (–3 ; –1) (5 ; 5)
4
99
100
Xcas
À l’aide d’un logiciel de géométrie dynamique on peut
c) Avec : conjecturer que la position des droites (MN’), (NM’) et
(AC) dépend de la somme xM + yN :
• xA = 1 ; yA = – 1 ; xB = – 4 ; yB = – 1 on obtient d = (AB)
Si xM + yN = 1 alors ces droites sont parallèles.
• xA = 1 ; yA = 1 et xB = – 2 ; yB = – 1 on obtient d // (AB) c , AD)
c si x + y ≠ 1 alors ces droites
Dans le repère (A ; AB
• xA = 1 ; yA = – 1 et xB = 1 ; yB = 1 on obtient d et (AB) sécantes. M N
sont concourantes
79 Un parallélogramme déformable. c
M(m ; 0)., N(0 ; n), M’(m ; 1), N’(1 ; n), C(1 ; 1), MN’(1 – m ; n),
1. c c
NM’(m ; 1 – n), AC(1 ; 1).
(MN’) // (N’M) ⇔ (1 – m)(1 – n) – m × n = 0
⇔m+n=1
Si cette condition est vérifiée alors
1 × (1 – m) – n × 1 = 1 – m – n = 0 donc les vecteurs MN’ c
c
et AC sont colinéaires et donc les droites (MN’) et (AC)
sont parallèles, finalement les droites (MN’), (N’M) et
(AC) sont parallèles.
Si cette condition n’est pas remplie, vérifions que (MN’),
a) p ∈[20 ; 30] (N’M) et (AC) sont concourrantes.
b) non (AC) : y = x ⇔ – x + y = 0
c) oui pour x = 6 (M’N) : (1 – n)x – my + mn = 0
2. a) p = 2(AF + AE) = 2(x + y) = 2x + 2y. (MN’) : nx + (m – 1)y – mn = 0
–(– m) – (1 – n) × 1 = m + n – 1 ≠ 0
Les triangles FDB et ACB sont en situation de Thalès
Donc les droites (AC) et (M’N) sont sécantes
donc : mn mn
FD FB
= ce qui équivaut à
x
=
15 – y
ce qui donne
en P 1m+n–1 m+n–1
;
AC AB 10 15 mn mn
3x + 2y = 30. n× + (m – 1) × – mn
m+n–1 m+n–1
3
b) x = 30 – p et y = p – 30. mn
2 = [n + m – 1 – (m + n – 1)] = 0 donc P ∈(M’N)
c) L’unicité de la solution du système donne l’existence m+n–1
d’une seule position de D pour une valeur de p. Les droites sont concourantes.
3 82 Notons x le côté du petit carré et y celui du grand
30 – p = p – 30 donne p = 24.
2 carré.
x = 30 – 24 = 6 = y.
On a : 4x + 4y = 144 soit x + y = 36
101
102
8 Trigonométrie et problèmes
1
J π
A N
3
O 60°
I B
135°
–
3π a) La longueur du cercle est égale à 2π.
B
4 π π
b) AOB intercepte un arc de × 90 = ;
180 2
2 a) 6 - c - 6 m = 2π donc π et - 11π ont le
π 11π
AOC intercepte un arc de π π
× 30 = ;
6 6 180 6
même point image sur . intercepte un arc de π × 120 = 2π .
π 13π 3π π 13π AOD
b) 8 - 8 = - 2 donc 8 et 8 n’ont pas le même 180 3
point image sur .
π 11π π 11π c) On a le tableau de proportionnalité :
c) - 4 - 4 = - 3π donc - 4 et 4 n’ont pas le même
point image . 180 ° a
Mesure en degrés de AOM
3 a) - 3π + k 2π où k ∈. Longueur de l’arc π
4 π
b) Il s’agit du nombre réel - 3 .
4 a) cos π = 1
7π
3 2
π 1
( )
π 3
b) cos − 6 = 2 Donc : = π et = π × a.
a 180 180
c) cos 3 = cos 3 = 2
103
solutions.
1
Dans ]–π ; π], l’équation sin x = – a deux solutions :
4. Accompagnement personnalisé 5π π 2
– et – .
1 6 6
J π
π 3 8 Gaspard a oublié de mettre sa calculatrice en mode
2 3
4 2
2
radians.
1 π 2
6 Dans ]–π ; π], l’équation sin x = – a deux
2 2
π 3π
solutions : – 4 et – 4 .
O I I
2 O 1 3
2 2 2
2 a) sin
π
= 1 b) cos π = –1 c) cos 0 = 1 5. Exercices de base
2
3π π
d) sin = –1 e) cos = 0 9 2π
2 2 J 5
c c π c c π π
3 (DA ; DC) = ; (AE ; AD) = – . 4
2 3 5π
c c c c π 6
(BD ; CD) = (BD ; BA) = .
4
c c c c c c π I
(DB ; DE) = (DB ; DA) + (DA ; DE) O
( )( )
π π
= − 4 + − 3 = – 12
7π
– 3π
c c
4 a) (OE ; OD) = –
2π c c
b) (OA ; OC) =
4π
. 4 –π
5 5 3
c c c c 3π 13π π 5π π 7π
c) (BO ; AB) = (BO ; BA) + π = +π= . 10 a) – + 2π = et – – 2π = – .
10 10 3 3 3 3
c c c c c c 2π
d) (DE ; AB) = (DE ; EA) + (EA ; AB) b) + k 2π avec k ∈ .
2π 2π 4π 3
= 5 + 5 = 5 π 13π
11 a) –
π 13π
= – 2π, et ont le même point
6 6 6 6
5 1. sin – ( )
π
6
π
= –sin 6 = –
1
2
image sur .
π 11π π 11π
cos π( )
–
π π
6 = –cos 6 = – 2
3 b) – –
4 4
point image sur .
= – 3π, – et –
4 4
n’ont pas le même
( ) π
sin π – 6 = sin 6 =
π 1
2
π
c) – – –
3 1
13π
3
π
= 4π, – et –
3
13π
3
ont le même point
2. a) cos (π + x) = –cos x ; sin (π + x) = –sin x image sur .
( )π
( )
π
b) cos 2 − x = sin x ; sin 2 − x = cos x π
12 a) rad b) 165°
( ) ( )
9
π π π π π 3π
c) cos + x = –sin x ; sin + x = cos x 13 a) b) c) d)
2 2 6 4 3 4
270 °
4 14 a) 90 ° b) 180 ° c) 150 ° d)
6 a) cos (–x) = cos x = π
5
3 = 180 × t = 30 × t en degrés.
15 a) AOP
sin (–x) = –sin x = – 5
4 6
b) cos (π – x) = –cos x = – 5 = π × t en radians.
AOP
3 6
sin (π – x) = sin x = 5 180 × (12 – t)
4 b) AOP = = 30 (12 – t) en degrés.
c) cos (π + x) = –cos x = – 5 6
3 = π (12 – t) en radians.
AOP
sin (π + x) = –sin x = – 5 6
( )π
d) cos 2 − x = sin x = 5
3 π 3π
16 A est l’image de , B l’image de , C l’image
4 4
( )
π
sin 2 − x = cos x = 5
4 5π
de et D l’image de .
4
7π
4
104
105
32 1. J c c c c c c c c
2. a) (AB ; DE) = (AB ; AC) + (AC ; DC) + (DC ; DE)
π 5π 5π
= + +
2 3 6
= 3π.
3/4 c c
I AB, DE sont colinéaires donc les droites (AB) et (DE) sont
O
parallèles.
c c c c c c c c
b) (AB ; DF) = (AB ; AC) + (AC ; DC) + (DC ; DF).
M c c c c
Or (DC ; DF) = π + (CD ; DF)
π
=π+
7 4π 3
2. a) sin2 x = 1 – cos2 x = . = .
16 3
π 7
2
x ∈ – ; 0 donc sin x 0 et sin x = –
4
. c c π 5π 4π
Alors (AB ; DF) = + +
2 3 3
3
b) cos (– x) = cos x = . π
4 = + 3π.
2
7 Donc les droites (AB) et (DF) sont perpendiculaires.
c) sin (π – x) = sin x = – .
4
3
d) cos (π + x) = – cos x = – . 37 1. On conjecture que b = a.
4 c c c c c c c c
π 3 2. (AB ; CD) = (AB ; OA) + (OA ; OC) + (OC ; CD).
2
e) sin – x = cos x = .
4 c c
Or (AB ; OA) = –
2π c c 2π
et (OC ; CD) =
π 7 c c 3c c 3
f) cos + x = – sin x =
2 4
. donc (AB ; CD) = (OA ; OC).
M2
40 1. a)
J π 2π
3π b) Non, car tout nombre réel x = +k avec k entier
6 3
4 relatif a pour point image l’un des points M0, M1 ou M2.
3. N 2
I J
–2 O
2
O
–3π I
4
3π N1 N0
b) a = .
4
107
( )
1 π 3π
= 20°.
c c 9
(CA ; CB) = 2 π – 4 = 8 c c
56 a) (AC ; AB) = –α.
La réponse exacte est c). c c c c
31π π π b) (CA ; BA) = (AC ; AB) = – α.
2. = 4 × 2π – 4 et –π – 4 π. c c c c
4 c) (AC ; BA) = (AC ; AB) + π = π – α.
La réponse exacte est c). 57 a) D’après la relation de Chasles, cette somme est
3. cos − ( )
5π
6
= cos ( )
5π
6 ( )
= cos π −
π
6
égale à 0.
π π c c π 3π
π 3 b) Donc 2 + 3 + (CD ; DE) + 6 + 4 = 0,
= –cos = – 2 c c 7π π c c 3π
6
( )
sin −
5π
6
= –sin ( )
π
5π
6
1
( )
= –sin π −
π
6
(CD ; DE) = 2π – 4 = , d’où (DE ; DC) = 4 .
58 a)
47π
4
π π
= 6 × 2π – 4 et –π – 4 π, la
= –sin = – 2 4
6 π
c c est – .
mesure principale de (u ; v)
La réponse exacte est b). 4
b) – 431π = –216 × 2π + π et –π π π, la mesure prin-
52 1. La mesure en radians d’un angle de 108° c c est π.
π 3π cipale de (u ; v)
est : 180 × 108 = 5 .
La réponse exacte est a).
( ) ( )
59 a) cos −
π π
12 = cos 12 =
6+ 2
4
1
( )
π
2. L’équation sin x = – 2 s’écrit sin x = sin – 6 .
11π
( ) π
b) cos 12 = cos π – 12 = –cos 12 = –
π 6+ 2
4
La réponse exacte est c).
2 π
13π
( ) π
c) cos 12 = cos π + 12 = –cos 12 = –
π 6+ 2
4
( )
3. L’équation cos x = 2 s’écrit cos x = cos 4 . 7π π π π 6+ 2
La réponse exacte est b). d) sin 12 = sin 2 + 12 = cos 12 = 4
5π 5π
60 1. a) Les solutions sont –
6 et 6 .
Vrai – Faux
b) Les solutions sont les nombres réels :
c c π 5π 5π
53 a) (BC ; BA) =
6 est vraie. – 6 + k2π et 6 + k2π avec k ∈ .
c c π c c π π 5π
b) (AB ; AH) = 3 et (CA ; CH) = 3 donc l’affirmation est vraie.
c c π 2. a) Les solutions sont – 6 et – 6 .
c) (AB ; CA) = – 2 , l’affirmation est fausse.
c c π 2π b) Les solutions sont les nombres réels :
d) (AH ; BA) = π – 3 = 3 , l’affirmation est fausse. π 5π
c c π 3π – 6 + k2π et – 6 + k2π avec k ∈ .
e) (AH ; CB) = – 2 ou , l’affirmation est vraie.
2
54 a) La mesure en degrés d’un angle de
π 180°
12 rad est : 12 = 15°. L’affirmation est vraie. 10. Exercices d’approfondissement
35π 11π 11π
b) – 12 = –2π – 12 et –π – 12 π.
π π 2π
11π 61 a) = – ,
La mesure principale est – 12 . L’affirmation est fausse. 10 2 5
π π 2π 2π –1
c) sin (5π – x) = sin (4π + π – x) = sin (π – x) = sin x. sin1
10
= sin1 –
2 5 = cos 1
5
= 5
4
.
L’affirmation est vraie. π
1
( ) ( )
π b) L’équation s’écrit : sin x = sin – , dans [0 ; 2π], elle
π 11π 19π 10
d) cos x – 2 = cos 2 – x = sin x. L’affirmation est a pour solutions et .
fausse. 10 10
π π
e) L’affirmation est vraie, la seule solution est π.
π
1 4
62 a) cos 2x = cos x + équivaut à 2x = x + + k 2π
4
f) L’affirmation est fausse, les solutions sont ou 2x = – x – + k 2π avec k ∈ .
π 3π 4
– 4 et – . Les solutions sont donc les nombres réels :
4 π π 2π
x = + k 2π et x = – + k avec k ∈ .
g) L’équation n’a pas de solution dans R car pour tout 4 12 3
nombre réel x, –1 sin x. L’affirmation est fausse.
109
π
1
2. a) sin 4x = sin x –
2
équivaut à 4x = x – + k 2π ou
2 M4
1
4x = π – x –
2 + k 2π avec k ∈ .
2. a) Mk + 5 est le point image du nombre réel
Les solutions sont donc les nombres réels :
π 2π 3π 2π 2π 2π
x=– +k et x = +k (k ∈ ). (k + 5) =k + 2π donc Mk + 5 et Mk sont confondus.
6 3 10 5 5 5
b) π b) Tout entier relatif k peut s’écrire k = 5q + r où q ∈
7π 2 3π
10 10 et r prend l’une des valeurs 0, 1, 2, 3 ou 4.
Mk est alors confondu avec Mr.
3. On a :
11π 19π OM0 = OM1 = OM2 = OM3 = OM4 et
10 10 c c c c c c c c
7π – π6 (OM0 ; OM1) = (OM1 ; OM2) = (OM2 ; OM3) = (OM3 ; OM4)
6 c c 2π
3π = (OM4 ; OM0) = ,
2 5
donc M0M1 = M1M2 = M2M3 = M3M4 = M4M0.
c c
64 1. a) (MA ; MB) = 0. 8π 2π
4. M4 est le point image du nombre réel 2π – =–
M 5 5
donc M1, M4 sont symétriques par rapport à l’axe des
A B
c c abscisses.
b) (MA ; MB) = π.
M3 est le point image du nombre réel
M 6π 4π
2π – = donc M2 et M3 sont symétriques par rapport
A B 5 5
c c π c c π à l’axe des abscisses.
2. a) (NA ; NB) = . b) (NA ; NB) = – .
2 2
67 1. H étant le pied de la hauteur issue de M dans le
N
triangle IOM, l’aire de ce triangle est :
π
1 1
2
B
OI × MH = sin x.
A B A 2 2
–π c c π
2 2. a) (OM ; ON) = – 2x.
2
b) L’aire du triangle OMN est égale à
N
1 π 1
= 1 BOC = π,
2
sin1 2
– 2x = cos 2x.
2
65 1. BAC 3. a) L’aire du polygone OIMNJ est donc égale à
2 3
1
CBA = 1 COA = π et ACB = 1 AOB
π
=
sin x + cos 2x.
2 π
2 3 2 3 π 1 π 3
b) Pour x = , elle est égale à : sin + cos = .
donc le triangle ACB est équilatéral. 6 6 2 3 4
c c c
2. a) (OB + OC) = 2 OI où I est le milieu de [BC]. O est aussi π
c 1 c c c
68 1. CDE est isocèle et (DE ;
le centre de gravité du triangle ABC donc OI = – OA. DC) = ,
c c c c 2 6
Finalement OA + OB + OC = O. c c 5π c c π
donc (CD ; CE) = . Ainsi (CE ; CB) = .
12 12
110
1
2
2+ 3 c) L’encadrement affiché est tel que b – a 0,1. Cette
2 + 53
4. = et condition peut être modifiée, on peut ainsi obtenir des
2 4
valeurs approchées de a à une précision voulue.
( ) ( )
2
3 +1 2 4+2 3 ×2 2+ 3
= . 2. b) Par exemple :
=
4 16 4 • u = 0,5 ; a = 1,0469419 ; b = 1,0477089
La calculatrice donne 1,0471976
Les deux nombres ont le même carré et sont positifs, ils • u = 0,1 ; a = 1,4703206 ; b = 1,4710876
sont donc égaux.
On démontre de même que
2− 3
=
3 −1 2
.
( ) La calculatrice donne 1,4706289.
71 AMC est un triangle isocèle en M, en effet le plan
2 4
5π π médiateur de [AC] est (BDH) et M est un point de ce plan
5. =π– donc
12 12 donc MA = MC. M
5π π 2+ 3 a AI
cos = – cos =– et sin = , or
12 12 2 2 AM α
1 2 2
2− 3 AI = AC = donc
5π π 2 2
sin = sin = .
12 12 2 a 2
sin = .
2 2AM A I C
1 π 5π a π
69 1. a) L’équation cos x = a pour solutions et a est un angle géométrique donc 0 ,
2 3 3 a 2 2
dans [0 ; 2π[. a est maximal si, et seulement si, est maximal, c’est-
b) et c) a 2
J π à-dire sin est maximal.
a 2
3 sin est maximal lorsque la distance AM est minimale,
2
c’est-à-dire lorsque M est le projeté orthogonal K de A
O I
cos x sur (HB).
H
1 a 2
5π Alors sin = ,
2 2 2AK
3 θ
AK 1
sin θ = = donc
d) Dans [0 ; 2 π], l’ensemble des solutions de l’inéquation 52 53
1 π 5π
cos x est
2
3 3
; . AK =
2
. Enfin K
2.
J 3 A B
a 3 2π
π sin = et a = .
5π 2 2 3
6 6
I 72 On résout l’équation :
O
2 sin2 x + sin x – 1 = 0.
On pose X = sin x, on résout :
2 X2 + X – 1 = 0.
Dans [0 ; 2π], l’ensemble des solutions de l’inéquation 1
1 π 5π
sin x est
2
6 6
; . On obtient X’ = et X’’ = – 1.
2
111
112
= QP = 3 et PQR
6 cos PQR ≈ 53°.
QR 5
3. Activités d’approche
1 1. a) D = AB2 + AC2 – BC2 = 32 + 42 – 4,52 = 4,75 (fig. 1)
D = AB2 + AC2 – BC2 = 42 + 32 – 62 = – 11 (fig. 2)
2. a) Voir manuel élève.
π
b) ∆ 0 quand a ∈ 0 ;
• Énigme ✱ ✱ 2
π
∆ 0 quand a ∈ ; π . 2
Zone humide D D
c) Le rapport est constant : = 24
cos a cos a
D
Gazon 3. = 30
cos a
D
4. On conjecture que = 2 × AB × AC
cos a
2 a) c cc c c
F1, F2, F3 favorisent le mouvement, F5 et F6 s’op-
c
posent au mouvement et F4 n’a pas d’effet sur le mou-
vement du wagon.
c c
b) W1 = F1 × AB × cos (AB, F1) = 6 × 8 × cos 0 = 48 J
2. Vérifier les acquis c c π
W2 = F2 × AB × cos (AB, F2) = 6 × 8 × cos = 24 53 J
6
1 A B c c π
W3 = F3 × AB × cos (AB, F3) = 6 × 8 × cos = 24 52 J
I G 4
IA c c π
C AD W4 = F4 × AB × cos (AB, F4) = 6 × 8 × cos = 0
F 2
D AB cc 5π
1
BD W5 = F5 × AB × cos (AB, F5) = 6 × 8 × cos = – 24 53 J
E 2 H c c 4
c c c c W6 = F6 × AB × cos (AB, F6) = 6 × 8 × cos π = – 48 J.
uc = CF + FG + GH = CH
C9_fig41 50 x 25
c c c c c c c c Les forces favorisent le mouvement lorsque le travail est
2 AB + IA + AD = AB + ID = AB + BI = AI
positif (on dit que le travail est moteur) ;
3 a) A(– 3 ; 2), B(3 ; 4), C(6 ; 0), D(0 ; – 2) Les forces s’opposent au mouvement lorsque le travail
c c c c est négatif (on dit que le travail est résistant) ;
b) AB(6 ; 2) ; DC(6 ; 2) donc AB = DC ce qui prouve que
ABCD est un parallélogramme. Les forces n’ont pas d’effet sur le mouvement lorsque
le travail est nul.
4 a) AB = (−1−1)2 +(0− 3)2 = 13
BC = (4 +1)2 +(1− 0)2 = 26
AB = AC donc ABC est isocèle en A,
AB2 + AC2 = 26 = BC2 donc ABC est rectangle en A.
4. Accompagnement personnalisé
AB x 1 a) u c . vc = u
c v
c cos 120° = –1
5 cos 30° = = c c
BC 10 b) cu . vc = OA . OH = – 4 × 1 = – 4
113
( )
2
c 1 c
donc KL –1; – 2 et KO (–1 ; –1).
c c
On en déduit KL . KO = 1 + 2 = 2
1 3
5. Exercices de base
c c
b) KL . KO = KL × KO cos LKO c c c
10 a) AB (4 ; – 2), AC (3 ; – 4), BC (– 1 ; – 2) donc
5
= 3 × 2 × cos LKO = 3 c c c
4 2 AB = 55 20 = 2 5 , AC = 55 25 = 5, BC = 5
2 3 b) AC2 = AB2 + BC2 donc le triangle ABC est rectangle en B.
donc cos LKO == et LKO ≈ 18,4°.
10 10 c 17 314
11 a) AL (– ; 1) donc AL2 = ;
2 5 25
4 1re étape : c 8 139
c c c c c c BL ( ; 3) donc BL2 = . Donc L n’appartient
AJ = AB + BJ et DI = DA + AI 5 25
c c c c c c pas à la médiatrice de [AB].
2e étape : AJ . DI = (AB + BJ) . (DA + AI)
c c c c c c c c c
= AB . DA + AB . AI + BJ . DA + BJ . AI 12 A (1 ; – 2), B (+ 3,5) donc AB (2 ; 7) et AB2 = 53.
c c 1 1
3e étape : AB . AI = AB × AI = a × a = a2 13 a) AB2 = 32 + 12 = 10, AC2 = 42 + 22 = 20,
2 2
c c 1 BC2 = 12 + 32 = 10.
BJ . DA = – a2 c c 1
2
c c b) AB . AC = 2 (AB2 + AC2 – BC2) = 10
BJ . AI = 0.
c c 1 1
Alors AI . DI = a2 – a2 = 0. 14 a) AB2 = 12 + 32 = 10 ; AC2 = 42 + 22 = 20 ;
2 2
On en déduit que les droites (AJ) et (DI) sont perpen- BC2 = 52 + 52 = 50
c c 1
diculaires. b) AB . AC = 2 (AB2 + AC2 – BC2) = – 10
c.c c c . c c
5 AE BF = (AB + BE) (BC +CF) c c 1 1
c c c c c c c c 15 a) AB . AC = (AB2 + AC2 – BC2) = (9 + 49 – 25) = 16,5
= AB . BC + AB . CF + BE . BC + BE . CF 2 2
c c c c
= 0 – AB × CF + BE × BC + 0 b) BA . CA = AB . AC = 16,5
1 1 c c
= – 5 AB2 + 5 BC2 = 0 c) AD . BC = AD2 = 25
Donc (AE) ⊥ (BF). c c 1 1
16 AB . AD = (AB2 + AD2 – BD2) = (25 + 25 – 36) = 7
c.c 2 2
6 a) AB AD = AB × AD × cos BAD
= 4 × 2 × cos 45° = 4 2 17
c c
AB . DC = AB2 = 16 Entrée
c c c c c
b) AB . AC = AB . (AD + DC) Saisir c, b, a longueurs des côtés AB, AC, BC
c c c c
= AB . AD + AB . DC = 4 2 + 16 Traitement
c.c c. c c
7 D’une part : AB 1
AC = AB (AD + DC) Calculer 2 (c2 + b2 – a2) à stocker dans la variable p
c c c c
= AB . AD + AB . DC 1
= 0 + AB × DC Calculer 2 (b2 + a2 – c2) à stocker dans la variable q
c.c c c .c
D’autre part : AB AC = (AC + CB) AC 1
c c Calculer 2 (a2 + c2 – b2) à stocker dans la variable r
= AC2 + CB . AC
Sortie
= AC + 0
2
Afficher p, q, r respectivement égaux aux produits
Par suite : AC2 = AB × DC c c c c c c
scalaires AB . AC, CA . CB, BC . BA.
114
115
116
c –6 –6 6 3 -3 β = 26,57°
c) v = = = = = 53
5p
2 53 3 C
3
5
5 -4
4 × cos 4× –
6 2 c c c c
c.c 50 1. a) AB(3 ; 1), BC(2 ; – 6) donc BA . BC = 0
44 a) Faux, si A, B, C étaient alignés alors AB AC serait
b) AB2 = 10, BC2 = 40, AC2 = 52 + 52 = 50
égale à AB × AC.
% c c donc AC2 = AB2 + BC2
b) Faux, si BAC = 30° alors AB . AC 0 c c c
c c c c 2. AC(5 ; – 5) donc AB . AC = 10 et
c) Faux, BC2 = (BA + AC)2 = AB2 +AC2 – 2AB . AC 10
% 5
= 16 + 9 + 12 ≠ 13 cos BAC = = 5
10 × 55
55 50 5
c c
c cv × cos (uc , vc ) donc cos a = u . v
45 uc . vc = u × % %
d’où BAC 63° et ACB 90 – 63 = 27°
c c
u × v
8 52 2 p 1
a) cos a = = 5 donc a = ∈ [0 ; p] 51 a) cos 120 = –
2×8 2 4 2 c
b) Si A(– 4 ; 1), B(– 1 ; 2) et C(1 ; – 4) alors AB(3 ; 1),
– 18 3 3 5p
b) cos a = =– = – 5 donc a = ∈ [0 ; p] c c c
AC(5 ; – 5) donc AB . AC = 10, AB = 55 10, AC = 5 52 donc
2 53 × 6 2 53 2 6
% 5
–4 2 3p cos BAC = 5 .
c) cos a = = – 5 donc a = – ∈ [– p ; 0] 5 %
4 52 2 4 c) Ce programme retourne une mesure de l’angle BAC
c.c c2 c2
car PS1 = AB AC, PS2 = AB , PS3 = AC .
c .c c .c
46 a) AC c . c c2
AD = AD AD = AD2 = 16 52 a) AB AC = AB = 16
c .c c c c c
b) AC AD = || AC || × || AD || × cos CAD b) AB . CB = 0 car (AB) (CB)
donc 16 = 4 × 52 × cos CAD c c 1 c c
c) OC . AB = AC . AB = 8
2
= 2 13 , soit CAD
donc cos CAD 56,3°. c .c 1 c c 1
13 d) OD CB = – BD . BC = – BC2 = – 8
2 2
e) Dans le repère orthonormal (A ; ci , cj ) tel que B(4 ; 0), D(0 ; 4),
c 1 3 c 5
47 CA
– ; + , CB (– 2 ; 1), AC2 = , CB2 = 5
2 2 2
c c
on a O(2 ; 2), C(4 ; 4) donc OD(– 2 ; 2), OB(2 ; – 2)
c c
OD . OB = (– 2)(2) + (2)(– 2) = – 8
c c 5 % c c c c
f) CO(– 2 ; – 2), DO(2 ; – 2) donc CO . DO = 0.
CA . CB = = CA × CB × cos ACB
2
5
53 a) cP . AB
c c. c c
= P AB’ avec AB’ projeté orthogonal de
% 2 %
donc cos ACB = 2 = 5 donc ACB = 45°. c c c. c
AB sur P donc P AB = – m × g × AB’ = – 0,2 × 9,81 × (4,2-2,5)
5 2
= – 3,3354 J.
2
c. c c Le travail lors du déplacement de A en B est résistant.
48 F AB = F × AB × cos a = 100 × 10 × cos 45° = 500 52 c c
b) P . BC = + 0,2 × 9,81 × 4,2 = 8,2404 J.
Le travail lors du déplacement de B en C est moteur.
117
7. Exercices d’entraînement
56 1. (uc + v)
c . (uc – v)
c = uc . uc + uc . (– v)
c + vc . uc + vc. (– v).
c
c
Les prérequis assurent que u . u = u 2 c c
vc. (– v)c = – vc . vc = – v
c2
uc . (– v)
c = – uc . vc
v . u = uc . vc donc
c c
(uc + v)
c . (uc – v)
c = u
c 2 – uc . vc + uc . vc – v
c 2 = u
c 2 – v
c2
c c c c c c c c c 2. Application
2. a) AI . DB = (AD + DI) . DB = AD . DB + DI . DB
c . c c. c a) Pour tout point M du plan,
= AD DA + DI DC c c c c c c
1 MA2 – 4 MB2 = MA2 – 4 MB2 = MA 2 – 2 MB 2
= – 2 + L2. c c . c c
= (MA – 2 MB) (MA + 2 MB)
c c2 L c c c c c c c
b) a = 90° ⇔ AI . DB = 0 ⇔ L2 = 22 ⇔ = 52. = (MJ + JA – 2 MJ – 2 JB) . (3 MI + IA + 2 IB)
1 c c c c c c
c) AI2 = 2 + L2, DB2 = 2 + L2. Or IA + 2 IB = O et JA – 2 JB = O donc
c .c
c c 4 MA – 4 MB = – 3 MJ MI.
2 2
d) AI . DB = AI × DB × cos (a) donne c c
b) M appartient au cercle si et seulement si MI . MJ = 0
1 2 2
L – ce qui équivaut à MA2 = 4 MB2 autrement dit à MA = 2 MB.
cos (a) = 2
1 2 2
L2 + 2 L +
4
3 + 17 2
Si L = alors cos (a) = 5 .
2 2
55 1. a)
c .c c c c c c c c
57 1. AB AC = (AB’ + B’B) . AC = AB’ . AC + B’B . AC.
c c c c c c
On sait que B’B . AC = 0 donc AB . AC = AB’ . AC.
c .c c . c c c c
De même AB AC = AB (AC’ + C’C) = AB . AC’.
118
119
120
2. b)
A
c c
2. Dans le repère orthonormé (A ; AB , AD), en suppo-
sant le côté du carré égal à 1.
a) On pose x l’abscisse du point M alors M(x ; x), P(0 ; x), B H I C
Q(x ; 1), B(1; 0) et C(1 ; 1). c c
c c BA . BC = BA2 enC09_fig44
projetant orthogonalement
35 x 20 sur (BA).
b) On en déduit que BQ(x – 1 ; 1), CP(– 1 ; x – 1), et c c c c
3. b) MA2 – MB2 = (MA + MB) . (MA – MB)
c c
BQ . CP = (x – 1)(– 1) + 1(x – 1) = 0. I est le milieu de [AB] donc c
c c
MA + MB = 2MI.
c c
c) Comme BQ . CP = 0 alors les droites (BQ) et (CP) sont c
La relation de Chasles assure que MA + BM = BA
c c
orthogonales. c c c c
donc MA2 – MB2 – 2MI . BA = 2BA . MI
Avec les propriétés du produit scalaire
c c c c c c
a) BQ . CP = (BC + CQ) . (CQ + DP)
c.c c.c c .c c .c
= BC CD + BC DP + CQ CD + CQ DP Vrai – Faux
= 0 + (– BC × DP) + CQ × CD + 0 71 a) Vrai. || u c + cv ||2 = || u ||
c 2 + || v ||
c 2 + 2 u . v
c c
c c
Car (BC) ⊥ (CD), BC et DP sont colinéaires de sens c c c c 0
= || u || + || v || car u . v =
2 2
c c
contraire, CQ et CD sont colinéaires de même sens et c c c c
b) Faux. || u – v || = || u || + || v || – 2 u . v
2 2 2 c c
(CQ) ⊥ (DP). c 2 + || v ||
= || u || c 2 car u . v =
c c 0
MQ AD AD
b) = or = 1 donc MQ = QC. On en déduit c) Vrai. D’après a) et b), || u + v || = || u – cv ||2 donc, puisque
c c 2 c
QC DC DC c + v ||
c et || u c – v ||
c sont des nombres réels positifs,
que DP = CQ. || u
c c c c c c
|| u + v || = || u – v ||.
c) BQ . CP = – BC × DP + CQ × CD = – BC × DP + DP × CD = 0 c + v) . (u
c c – v) c = || u ||
c 2 – || v ||
c 2. Les vecteurs u c et
d) Faux. (u
car BC = CD. On peut donc conclure à l’orthogonalité des cv ne sont pas supposés de même norme.
droites (BQ) et (CP). c – 2w) . v
c c = u . v
c c – 2w . v
c c = – 2w . v c c car u . v
c c = 0.
e) Vrai. ( u
Par comparaison de deux triangles c c c c c c c c c c
c c c c c c f) Vrai. v . (3u – v) = 3v . u – v . v = – || v || car u . v = 0.
2
a) (BC , CD) = (BC , BA) puisque CD = BA donc g) Faux. Contre exemple.
c c π c (1 ; 0), vc (0 ; 1) alors u . v
c c=0
(BC , CD) = . • Si u
2 c c c c c c = cv(0 ; 1)
La relation de Chasles sur les angles assure que • Si w (1 ; 2), alors u . w = 1 donc (u . w) v
c c c c c c c c c c c c c c
et v . w = 2 donc (v . w) u = 2u (2 ; 0)
(BQ ; CP) = (BQ ; BC) + (BC ; CD) + (CD ; CP) donc
c c c c π c c
(BQ ; CP) = (BQ ; BC) + + (CD ; CP).
2 5 25
b) Les triangles BQC et CPD sont superposables donc, 72 a) Vrai. c c
AB . AE = AB × AK = 5 × =
c c c c 2 2
(BQ ; BC) = (CP ; CD). c c
c c c c b) Vrai. EK . CD = 0 car (EK) ⊥ (AB) et (AB) // (CD) donc
c) On peut conclure que (BQ ; BC) + (CD ; CP) = 0 donc
c c π (EK) ⊥ (CD)
(BQ ; CP) = d’où l’orthogonalité des droites (BQ) et (CP).
c 2 c c c c) Vrai. DB2 = DA2 + AB2 = 9 + 25 = 34 donc DB = 34
3. b) BP(– 1 ; x) et AQ(x ; 1) donc BP . AQ = 0 ce qu’il fallait c c c
démontrer. d) Faux. DE2 = (DA + AE)2
c c
= DA2 + AE2 + 2DA . AE
= 9 + 25 – 2 × AD × AE × cos 150°
9. Autoévaluation pour se tester 3
= 9 + 25 – 2 × 3 × 5 –
2
QCM = 34 + 15 3
5 3
69 1. b) c c
AB . AD = AB × AD × cos BAD donc DE ≠
2
= 3 × 5 × cos 60° = 7,5
121
122
E A B
c c c c c c
b) EA × AB = EA . AB = (EI + IA) . (AI + IB)
c c c c c c c c
= EI . AI + EI . IB + IA . AI + IA . IB
= AI2 + 0 – AI2 + IA2 = IA2 donc IA2 = a × b.
82 a) Le théorème de Pythagore assure que : c) Le point I est conforme au 1. b), il reste à construire D
AM2 + MB2 = AD2 + DM2 + MC2 + CB2 le symétrique de A par rapport à I, puis la perpendiculaire
= 4 + 1 + 16 + 4 = 25 à (AD) en D, et enfin le point C de cette perpendiculaire
donc AM2 + MB2 = AB2. On en déduit que AMB est rec- tel que DC = b (C à droite de D).
tangle en M. c c . c c
86 a) (AD
cc + AB) (DA + DC)
b) Dans le repère orthonormal (A ; i, j), c c c c c c c c
= AD . DA + AD . DC + AB . DA + AB . DC
A(0 ; 0), M(1 ; 2), B(5 ; 0)
c c c c = – AD2 + O + O + AB2 = L2 – 2
donc AM(1 ; 2), BM(– 4 ; 2) et AM . BM = 1(– 4) + 2 × 2 = 0
On conclut que AMB est rectangle en M.
123
125
c) cos BAC =
≈ 63°.
AB × AC 4 2 10 5 ⇔
2
1
9 5
5 donc Ω 2 ; 2 .
d’où BAC y=
2
c c c c
4 a) (OA + AB) . (OD + DC) 9 2 5 2 25 5 52
c .c c .c c .c c .c
= OA OD + OA DC + AB OD + AB DC
ΩB = 2 –
2
1 2 1
+ 0 –
2 2
= donc ΩB =
2
c c d) Soit M(x ; y) un point du plan.
OA . OD = – OA × OD = –9.
c c c c (x – 4,5)2 + (y – 2,5)2 = 12,5 ⇔ ΩM2 = R2 ⇔ ΩM = R
OA . DC = 0 et AB . OD = 0.
c .c ⇔ M appartient à Γ.
AB DC = AB × DC = 12.
On en déduit que : 2. a) Le triangle PB1A est rectangle en A, on en déduit
c c c c que PB12 = 500.
(OA + AB) . (OD + DC) = – 9 + 0 + 0 + 12 = 3
c c c c c c De même PB22 = 202 + 17,322 = 699, 9824 puisque PAB2
b) OA + AB = OB, OD + DC = OC
c c est rectangle en A.
donc OB . OC = 3. c c
b) (PB2 – PB1)2 = PB22 + PB12 – 2PB2 × PB1 × cos(a)
5 a) L’ensemble des points M du plan tels que
conduit à
MA = MB est la médiatrice de [AB]. B1B22 – PB2 – PB12
cos a = ≈ 0,969 d’où a ≈ 14°.
b) L’ensemble des points M du plan tels que AM = AB – 2PB2 × PB1
p p p p
est le cercle de centre A et de rayon AB.
1 4 4 1
3. A cos ; sin , B cos ; sin
3 3 donc
127
( )
2
5 37
b) (x – 2)2 + y – = .
2 4
4. Accompagnement personnalisé BC
=
AC
=
AB
9 sin B sin C
1 Colonne de gauche : 3x + (– 2)y + c = 0 sin A
Avec A +B + C = 180° on en déduit A = 75°.
3 × 1 + (– 2) × 2 + c = 0 et c = 1
d : 3x – 2y + 1 = 0 sinB sin45° 400
=
AC = BC = 200
• Colonne de droite : 1x + 4y + c = 0 sinA sin75° 3 +1
1 × (– 2) + 4 × 2 + c = 0 et c = – 6 sin60° 6
sinC
d : x + 4y – 6 = 0 AB = BC = 200 = 200
sinA sin75 ° 3 +1
c
2 BC (3 ; –1) donc une équation de (BC) est de la 10 a = b + c – 2bc cos A
2 2 2
forme x + 3y + c = 0.
= 17 –18 –13 = 17
2 2 2
C(2 ; 0) appartient à (BC) donc c = – 2. donc cos A
–2 ×18 ×13 39
Une équation de (BC) est donc x + 3y – 2 = 0. d’où A ≈ 64,15°.
3 Le vecteur c DE est normal à la droite d médiatrice b2 = a2 + c2 – 2ac cos B donc cos B =
182 –172 –132 67
=
de [DE]. –2 ×17 ×13 221
d’où ≈ 72,35°
B
c = 180 – A – B soit C
≈ 43,49°.
DE(6 ; 2) donc une équation de d est de la forme d’où C
6x + 2y + c = 0.
donc
11 a2 = b2 + c2 – 2bc cos A
Le milieu F de [DE] appartient à d. F(1 ; 0) donc 6 + c = 0
d’où c = – 6. a2 = 4502 + 2702 – 2 × 450 × 270 × cos 70° et a ≈ 438,51 m
Une équation de d est donc 6x + 2y – 6 = 0. On calcule B avec la formule des sinus :
b donc
4 Le vecteur c BC est normal à la perpendiculaire à sin B = sin A
a
(BC) passant par A. sin B ≈ 0,96 et B ≈ 74,65°
c = 180 – B – A soit C
≈ 35,35°.
BC(– 2 ; – 1) donc une équation de la perpendiculaire à On calcule C
(BC) passant par A est de la forme :
12 a) BC2 = AB2 + AC2 – 2AB × AC cos A
– 2x – y + c = 0
A appartient à cette droite donc c = 5. BC = 236 + 325 – 2 × 325 × 236 cos 78°
2 2 2
128
129
c 17 17
et sin
11p
1
12
=
2( 3 –1)
4
c) BC –1 4
;–
4
c
donc n(1 ; 1) est un vecteur normal
13p 3p p à la droite (AH). On en déduit que y = – x + 2 est une
35 cos
12
= cos 1 4 3
+ équation de la droite (AH).
1 1
3p p 3p p Soit la fonction f définie sur * par f(x) = alors f ’(x) = – 2
= cos cos – sin sin x x
4 3 4 3 et f ’(1) = – 1. On vérifie ainsi que (AH) est tangente à
2
5 1 2
5 53 (f) en A(1 ; 1).
=– × – × . a–b
2 2 2 2 c
1
3. a) AB b – a ;
c ab donc
13p – 52 – 56 u(ab ; – 1) est un vecteur directeur de la droite (AB).
cos = c
12 4 v(1 ; ab) est un vecteur directeur de la droite d,
13p 3p p uc . vc = 0 donc (AB) et d sont perpendiculaires.
sin
12
= sin 1 4 3
+ 1 – a3b
3p p p 3p Soit g(x) = abx + la fonction affine associée à la
= sin cos + sin cos a 1
4 3 3 4 droite d. On a bien g(a) = donc d passe par A.
a
52 1 3
5 – 2
5
× + × 1
=
2 2 2 2
c .c
1 a b
b) Le point C – 2 ; – a2b appartient à d’autre part
52 – 56 AC AB = 0 donc ABC est rectangle en A.
= 1
4 c) La tangente T en A à admet f ’(a) = – 2 comme coef-
p p p a
c 2 ; – 1) pour vecteur directeur
1
36 a) cos x + = cos x cos – sin x sin
4 4 4
ficient directeur, donc w(a
1 1
=
52
(cos x – sin x)
c
1
BC – 2 – b ; – a2b – donc
ab b
2 c 1 + a2b2 a2b2 + 1
1
p
sin x + = cos x sin + cos sin x
p p 1
BC –
a2b
; –
b
c c
et BC . w = 0. On en déduit
4 4 4 que la tangente T en A est la hauteur issue de B.
52
= (cos x + sin x) 40 a) OG = LG – LO
2
p p p 1 5 1 5 –1
1 6
b) cos x – = cos x cos + sin x sin
6 6
= LJ – =
2 2 2
– =
2
53 1 1
= cos x + sin x OG
2 2 % 2 5 –1
p p p cos IOB = OB =
1 6
sin x – = sin x cos – sin cos x
6 6 4p
4
4p p
=
53 1
sin x – cos x
b) sin 1 5 1
= sin p –
5 = sin
5
. 1
2 2 Pour tout nombre réel x,
π 3
37 • cos 2× = 2cos2 π – 1 = . sin(4x) = sin(2 × 2x) = 2sin(2x) cos(2x)
12 12 2 = 4sin(x) cos(x)(2cos2(x) – 1)
π 3 +2 π π donc sin(4x) – sin(x) = sin(x)(8cos3(x) – 4cos(x) – 1)
Donc cos = 2 car ∈ 0 ; 2
p p p
π
12
π
12
π 2− 3
On en déduit que sin 1 1
5
× 8cos3 – 4cos – 1 = 0
5 5
• sin2 = 1 – cos2 donc sin =
12 12 12 2 3p p
donc 8cos – 4cos – 1 = 0
π 5 5
car sin 0 c) L’équation 8x3 – 4x + 1 = 0 admet 3 solutions réelles
12
1
38 a) cos 2x = 2 cos2x – 1 = 2 56 + 52 – 1 p 1+ 5
2
131
(cosx cosy – sinx siny) (sinx cosy – siny cosx) c) est le cercle de centre I, de rayon 4.
c c
= sinx cosx cos2y – siny cosy cos2x 2. MA · MB = – 10 ⇔ MI2 = IA2 – 10 = – 1.
– siny cosy sin2x + sinx cosy sin2y est vide.
= sinx cosx – siny cosy 57 a) M ∈ ⇔ MA2 + MB2 = 10
D’où 1
⇔ 2MI2 + AB2 = 10
2cos(x + y) sin(x – y) = 2sinx cosx – 2siny cosy 2
1
= sin(2x) – sin(2y). ⇔ 2MI = 10 – 16
2
2
b) sin(x + y) sin(x – y) =
⇔ MI2 = 1
(sinx cosy + siny cosx) (sinx cosy – siny cosx)
b) est le cercle de centre I, de rayon 1.
= sin2x cos2y – sin2y cos2x
= (1 – cos2x) cos2y – sin2y cos2x 58
= cos2y – cos2x
Entrée
2sin(x + y) sin(x – y) = 2cos2y – 2cos2x
Saisir les coordonées xA, yA, xB, yB, xC, yC, xD, yD des points
= 2cos2y – 1 – 2cos2x +1
A, B, C, D.
= cos(2y) – cos(2x)
Traitement
c c
53 a) • cos2x = 1 – sin2x = 1 – 2 + 53 = 2 – 53 Calculer les coordonnées des vecteurs AB et CD :
4 4 xB – xA → x
p 2− 3 yB – yA → y
or x ∈ 0 ; 2
donc cosx 0 et cosx =
2
.
xD – xC → x’
yD – yC → y’
2− 3 2+ 3 c c
• sin(2x) = 2sinx cosx = 2 × × Calculer le produit scalaire de AB . CD : xx’ + yy’ → P
2 2
4 −3 1 Si P = 0 alors
= = .
2 2 afficher “OUI“
• cos(2x) = cos x – sin2x = 2 – 53 – 2 + 53 = – 53 .
2 sinon
4 4 2 afficher “NON“
1
b) sin(2x) = Fin d’algorithme
2 5p 5p
donc 2x = d’où x = . 1
cos(2x) = – 3
5 6 12 59 La distance BC est parcourue en h à la vitesse de
3
2 24 km.h–1 donc BC = 8 km.
2x ∈ ]0 ; p[ % % %
ACx = 57° donc BCA = 180° – 57° = 123° et BAC = 25°.
p
54 Pour tout nombre réel x de l’intervalle 0 ;
2, AB
% =
BC
% donc AB =
8 × sin (123°)
sin (25°)
et AB ≈ 15,9 km
sin C sin A
132
( )
On en déduit l’hypoténuse SA du triangle SAS’, la mesure
faite avec l’instrument A permet de trouver SS’. 66 a) Faux. cos π + π 0
3 4
π π 7π π
car + = ∈ ;π .
3 4 12 2
= cos ( 2 )
1+ cos x x
63 1. c) La droite d’équation –2x + 3y – 1 = 0 passe donc 2
2
c 2 ; 3) pour
par A (1 ; 1) car – 2 + 3 – 1 = 0 et admet n (– d) Vrai. Le centre étant A (2 ; –1).
vecteur normal.
133
D’où H (– 2 ; 1).
69 • On note O le centre du rectangle ABCD. 10. Exercices d’approfondissement
• Le théorème de la médiane appliqué dans le triangle 1
72 a) (AIB) = IB × AI × sina
LBD conduit à : 2
1 1
2LO2 = LB2 + LD2 – BD2. (AID) = IA × ID × sin(p – a)
2 2
• De même, dans le triangle LAC, on obtient : 1
(ADB) = (AID) + (AIB) = IA sina (IB + ID)
1 2
2LO2 = LA2 + LC2 – AC2. 1
2 = IA × BD × sina
On en déduit que : 2
1 1 1
LB2 + LD2 – BD2 = LA2 + LC2 – AC2. b) De même, (CBD) = IC × BD × sina puisque
2 2 % % 2
ABCD est un rectangle donc BD = AC, on en déduit que DIC = BIA.
1
LC2 = LB2 + LD2 – LA2 ≈ 1 donc LC ≈ 1. c) (ABD) = (CBD) + (ADB) = BD × sina × (IC + IA)
2
1
70 a) Pour tout nombre réel x, (ABD) = BD × AC × sina.
2
cos(4x) = cos (2 × 2x) = 2 cos2 (2x) – 1 1
d) S = × 530 × 480 × sin 105 ≈ 122 865,8 m2
donc cos(4x) = 2[2 cos2 x – 1]2 – 1 2
73 a) Le théorème d’Al-Kashi appliqué dans le triangle
= 8 cos4 x – 8 cos2 x + 1. %
π AFG conduit à FG2 = AF2 + AG2 – 2AF × FG × cos(FAG)
b) On remplace x par , ce qui conduit à : 1 1 % p p
( )
12 AF2 = b2, AG2 = c2, FAG = + a + .
π π 4π 1 3 3 6 6
8 cos4 – 8 cos2 + 1 = cos = 1 2 2 p
12
donc 8 cos4
π
12
π
– 8 cos2 + = 0.
1
12 2 2
31
On en déduit FG = b + c – 2bc cos a + 1 3
p 1 3
π
12 12 2
1
b) cos a + = cosa – 5 sina donc
3 2 2
c) cos est donc une des solutions de l’équation 1 2 2
12 FG = (b + c – bc cosa + 53 bc sina) ;
2
1 3
8x4 – 8x2 + = 0. 1 2 3
2 FG = (b2 + c2 – bc cosa) + 5 S.
2
3 3
134
1 b2 + c2 – a2 2 3 cos A
3 1
FG2 = b2 + c2 –
2
+ 5 S;
3
2 bc
b2
+ c2 – a2 2
%=
1 2 3
FG2 = (a2 + b2 + c2) + 5 S.
cos2 A 1 2 bc et
6 3
% = 1 – b + c – a 2.
2 2 2
136
11 Statistique descriptive
et problèmes
1. Page d’ouverture 2. a)
Masse … 247 248 249 250 251 252 253
• Énigme ✱ Effectifs
Les scores moyens des élèves de la classe de Thomas cumulés 0 7 24 57 85 96 100
sont supérieurs, pour les filles comme pour les garçons, croissants
mais la composition des classes est très différente. De b)
ce fait, quand on calcule le score moyen dans la classe *
*
de Thomas, on trouve environ 19, alors que dans celle *
effectif
de Marie, on trouve 20,6.
• Énigme ✱ ✱ *
Supposons qu’on note la conduite des conducteurs avec
une note de 0 à 10. Raisonnons sur 10 conducteurs. Si
leurs notes sont 1 9 9 9 9 9 9 9 9 9, la moyenne est 8,2, et *
90 % conduisent mieux que la moyenne, alors que 10 % 10
conduisent plus mal que la moyenne. *
247 248 249 250 251 252 253 g
141
79 80 80 8 8 8 8 8 8 8
1 1 1 2 2 2 3
4. Accompagnement personnalisé 83 83 84 8 8 8 8 8 8 8
xn + xn +1 4 5 5 5 7 7 9
1 a) Me = Q3 = x8
2
Comme il y a 20 données, la médiane est la moyenne de
Au moins 25 % Au moins 25 % la 10e et 11e données, donc Me = 83.
des données des données
20 20
= 5 et 3 × = 15. Le premier quartile est la valeur de
4 4
Q1
rang 5 donc Q1 = 81 et le troisième quartile est la valeur
Me Q3
de rang 15, donc Q3 = 85.
b)
Plus petite Au moins 50 % Plus grande
donnée des données donnée
2 a) Données triées :
1,101 1,114 1,141 1,168 1,207 1,234 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89
1,236 1,239 1,255 1,265 1,27 1,273 c) Il y a 6 données inférieures ou égales à Q1, ce qui
Il y a 12 données. représente 30 % des données.
b) La médiane est la demi-somme des données de rang Il y a 6 données supérieures ou égales à Q3, ce qui repré-
6 et 7, donc Me = 1,235. sente 30 % des données.
Q1 est la 3e donnée, donc Q1 = 1,141.
Q3 est la 9e donnée, donc Q3 = 1,255. 9 a) Me = 14. Q1 = 12 et Q3 = 22
c) b)
0 5 10 15 20 Femme
4 En E5 : =MEDIANE(A3:L3)
En E6 : =QUARTILE(A3:L3;1) Homme
32 43 61 78 83
En E7 : =QUARTILE(A3:L3;3)
20 30 40 50 60 70 80 90
5 La moyenne est donnée par la formule
–x = n1x1 +…+ np x p donc on calcule chacun des termes Le Danemark se place au-delà du 3e quartile pour les
N
du numérateur en colonne C. En B7 on calcule l’effectif hommes comme pour les femmes.
total par =SOMME(B2:B6) et en C7 on calcule la somme Cela signifie que le Danemark fait partie des 25 % des
des nixi par =SOMME(C2:C6) . pays de l’Union européenne où l’usage d’Internet est
le plus fréquent (pour les hommes comme pour les
On obtient la moyenne par la formule =C7/B7 .
femmes).
6 Les calculs de Naïma sont corrects. Elliott a oublié La France se place entre la médiane et le 3e quartile, pour
de tenir compte des effectifs (préciser valeurs en liste 1 les hommes comme pour les femmes. Cela signifie qu’elle
et effectifs en liste 2). se situe dans le 2nd quart du classement des utilisateurs
7 Camille a interverti données et effectifs. d’Internet (en partant des utilisateurs les plus fréquents).
142
143
Âge en années
0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120
p n (x – –x)2
6. Travaux pratiques = Σ i i et = 5V .
i =1 N
nx + nx2 + … + nxp n(x1 + x2 + … + xp)
21 1. a) Pour les groupes A et B, le diagramme en 2. x– = 1 =
N np
bâtons est symétrique par rapport à une valeur. La 1 1 p
p i =Σ1 i
moyenne et la médiane sont égales à cette valeur. = (x1 + x2 + … + xp) = x
p
Pour le groupe C, il n’y a pas exactement cette symétrie, 1 p
(x – –x)2 et = 5V .
p i =Σ1 i
mais la variation des valeurs les plus grandes semble V=
compenser les variations des valeurs les plus petites, et
24 1. a) Ce sont l’écart interquartile et l’écart-type.
la moyenne et la médiane ne sont sans doute pas très
différentes. On peut également s’intéresser à l’étendue étudiée en
b) On peut résumer les données dans le tableau suivant : seconde.
b) L’écart interquartile est Q3 – Q1, Q1 étant le premier
Groupes A B C quartile de la série et Q3 le troisième quartile.
Données Effectifs Données Effectifs Données Effectifs L’écart type est la racine carrée de la variance V avec
1 6 1 7 1 7 1 p
(x – –x)2
p i =Σ1 i
V =
2 6 2 2 2 4
2.
3 6 3 13 3 5
Valeur 2 4 6 8 10 12 14
4 6 4 2 4 10
Effectif série 1 5 4 3 2 5 10 20
5 6 5 7 5 4
Effectif série 2 0 1 12 15 15 6 0
144
145
146
Se préparer au contrôle
44 Pour l’histogramme 1, on voit que la moitié au
moins des données est supérieure ou égale à 6, donc
la médiane doit être supérieure ou égale à 6. De plus
l’histogramme est dissymétrique par rapport à 6. Le
diagramme en boîte est donc le B.
9. Autoévaluation pour se tester Pour l’histogramme 2, on voit que la moitié des données
est inférieure ou égale à 2, donc la médiane doit être infé-
QCM rieure ou égale à 2. Le diagramme en boîte est donc le A.
Pour l’histogramme 3, il reste le diagramme C : les valeurs
40 1. b) et effectifs sont répartis presque symétriquement de part
2. a) et d’autre de la valeur 6, symétrie que l’on retrouve bien
3. a) dans le diagramme C.
41 On obtient à la calculatrice les écrans suivants : 45 a) On commence par ordonner les 17 données par
ordre croissant :
147
Classe [0 ; 10[ [10 ; 10[ [20 ; 30[ [30 ; 40[ [40 ; 50[ [50 ; 60[
Effectifs 9 15 9 5 1 1
En utilisant les valeurs centrales, on trouve une moyenne
environ égale à 19,25 et un écart-type environ égal
On peut observer que la rue A est généralement plus
à 11,80.
bruyante que la rue B,et que les variations de bruit
c) Les résultats du a) et du b) sont pratiquement identiques,
sont beaucoup plus importantes également : en fait
ce qui n’est pas surprenant car en remplaçant les valeurs
quasiment 100 % des relevés concernant la rue B sont
par des valeurs proches, la moyenne n’évolue guère, et
inférieurs à la médiane des relevés de la rue A.
comme l’amplitude des classes n’est pas très grande, cela
Remarque : on arriverait aux mêmes conclusions avec la
n’a pas un gros effet sur la dispersion des données.
moyenne et l’écart-type.
50 a)
10. Exercices d’approfondissement
i 1 1 1 2 2 3
48 On obtient l’écran suivant : j 4 3 2 4 3 4
Liste 7 316 7 136 1 736 1 736 1 376 1 367
b) Avec la liste 54378 n = 5
i 1 1 1 1 2
j 5 4 3 2 5
Liste 54 378 54 378 53 478 35 478 35 478
[–x – 2 ; –x + 2] est à peu près [4,60 ; 5,398]. i 2 2 3 3 4
2 données n’appartiennent pas à cet intervalle, soit 5 % j 4 3 5 4 5
des données.
Liste 35 478 34 578 34 578 34 578 34 578
[–x – ; –x + ] est à peu près [4,801 ; 5,199].
13 données n’appartiennent pas à cet intervalle, soit Cet algorithme trie par ordre croissant une liste de
32 % des données. données.
148
S2
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Le fait de regrouper par classe réduit l’étendue de
b) On peut constater que les cerveaux des filles sont très la série et l’écart-type. Cela n’a pas d’effet sur la
nettement plus petits que ceux des garçons. moyenne, mais cela modifie légèrement la médiane
2. a) Données sur les QI : et les quartiles.
Pour les garçons :
54 a) Les données portent sur les émissions par
habitant, or on ne connaît pas le nombre d’habitants
de chaque pays, donc il est impossible de calculer la
moyenne dont il est question.
b) On peut calculer la médiane et les quartiles de cette
série, ce qui permettra de situer les pays par rapport
Pour les filles : à ces paramètres. Il y a 20 pays, donc le taux médian
est la moyenne entre la 10e et la 11e données ordon-
nées, soit 10,5. Le premier quartile est la 5e donnée
(dans l’ordre croissant) soit 8,4 (ce qui correspond à
la France), et le troisième quartile est la 15e donnée,
soit 12,2.
149
150
12 Probabilités et problèmes
• Énigme ✱ b) =ECARTYPEP(A2;A11)
Il faut au moins 14 chaussettes car les 12 premières c) =NB.SI(A2:A11;6)
peuvent être vertes. 2. Il faut appuyer sur la touche F9.
Il faut au moins 13 chaussettes car les 12 premières
peuvent être de la même couleur.
5 b) Y peut prendre les valeurs 0, 1, 2 et 3. b) L’expérience est modélisée par la loi équirépartie :
(Y=0) est réalisé par l’issue (–G ; –G ; –G) xi 1 2 3 4 5 6 8 9
et P(Y=0) = 0,63.
(Y=1) est réalisé par les issues (– G ; –
G ; G), (–
G ; G ; –
G) P(X=xi)
1 2 2 3 2 4 2 1
– –
et (G ; G ; G) et P(Y=1) = 3 × 0,6 × 0,4.
2 36 36 36 36 36 36 36 36
152
b) (X = 0) est composé des issues (B, C, A) et (C, B, A) La variable X prend les valeurs 1, 2, 3 ou 4.
(X = 1) est composé des issues (A, C, B), (B, A, C) et (C, B, A) a)
(X = 3) est composé de l’issue (A, B, C) xi 1 2 3 4
1 1 1 1
xi 0 1 3 P(X=xi)
4 4 4 4
1 1 1 1 1 1 1
P(X=xi) b) E(X) = 1 × +2 × + 3 × + 4 ×
3 2 6 2 4 4 4
10 5
= = = 2,5
4 2
11 a) Il y a 33 = 27 façons différentes. 1 1 1 1 25
V(X) =1 × + 4 × + 9 × + 16 × –
4 4 4 4 16
b) P(X 2) = P(X = 2) + P(X = 3) 95
=
3× 2 1 7 16
= + = 95
27 27 27 et s(X) = V( X) = ≈ 2,437
16
12 E(X) = – 5 × 0,3 – 1 × 0,1 + 3 × 0,5 + 7 × 0,1
= 0,6 15 a) E(X) = 4 et V(X) = 3,8
V(X) = 0,3 × 25 + 0,1 × 1 + 0,5 × 9 + 0,1 × 49 – 0,36 b) Comme E(X + b) = E(X) + b, on a alors E(Y) = 0 lorsque
= 16,64 E(X) + b = 0, c’est-à-dire b = – 4
s(X) = V( X) = 16, 64 c) Comme V(aX) = a2 V(X), on a alors V(Z) = 1 lorsque
1 1
( X) = 16, 64
V a2 V(X) = 1, donc lorsque a2 = , soit a =
3,8 3, 8
≈ 4,08
16 1. a) Le tableau de la loi de probabilité de X est :
13 a)
xi 10 20 30
xi – 1 2 4 1 1 1
P(X=xi)
1 1 1 2 3 6
P(X=xi)
2 3 6 50
Alors E(X) =
137 3
5
b) E(X) = et σ(X) = V(X) = b) Sur un grand nombre de lots distribués, la durée
6 36
moyenne offerte est de 16,67 minutes.
14 On décrit par l’arbre suivant tous les tirages possibles, 2. a) Y = 5X + 20
qui sont équiprobables. Il y a 4 × 3 × 2 × 1 = 24 tirages b) E(Y) = E(5X + 20) = 5 E(X) + 20 = 90
153
xi 1 2 3 4 5 0 b) Loi de probabilité de S :
1 4 1 4 1 4 1 4 1 4
15 × 5 15 × 5 15 × 5 1
2 3 5 5
P(X=xi) × si 3 4 5 6 7
5 5 5 5 1 3 1 6 2 7 7 2
P(S=si) = = =
27 27 9 27 9 27 27 9
20 a) La probabilité qu’une pièce du lot ne soit pas
c) E(S) = 6 et V(S) = 2
défectueuse est 1 – 0,01 = 0,99. On considère des listes
d) On constate que ces valeurs sont proches de celle
de 10 pièces. La probabilité qu’aucune ne soit défec-
trouvées lors des simulations.
tueuse est 0,910.
b) « Au moins une pièce est défectueuse » est l’événe- 23 1. a) X prend une valeur aléatoire entière entre 1
ment contraire de « aucune pièce est défectueuse », donc et 18 le compteur de partie i s’initialise à la valeur 1 tant
la probabilité qu’au moins une pièce soit défectueuse que X ≠ 9, et que le nombre de parties est inférieur à 20,
est 1 – 0,9910 ≈ 0,0956. on fait une autre partie et le compteur augmente de 1
si X = 9, le programme affiche le numéro de la partie
21 Caroline répète 4 expériences identiques et indé-
si X n’a jamais pris la valeur 9, le programme affiche 0.
pendantes, la probabilité de F (bonbon à la fraise) est 0,6
et la probabilité de C (bonbon au citron) est 0,4. b) Voir fichier sur le site compagnon.
1
a) L’événement « les 4 bonbons sont du même parfum » 2. a) La probabilité que le 9 apparaisse à une partie est .
18
est composé des listes (F, F, F, F) et (C, C, C, C) donc sa La loi de probabilité de X qui est une loi géométrique
probabilité est 0,64 + 0,44 = 0,1552. tronquée est donc résumée dans le tableau ci-dessous :
154
13 14 15 16
– 16 m + 3(5 – m) + (10 – m)
E(X) =
20
17 12 1 17 13 1 17 14 1 17 15 1
1 18 ×
18 1 18 ×
18 1 18 ×
18 1 18 ×
18 =
25 – 20 m
20
xi 17 18 19 20
Le jeu est équitable lorsque 25 – 20 m = 0, donc pour
17 16 1 17 17 1 17 18 1 17 19 1
P(X=xi) 1
18
×
18 1
18
×
18 1 18
×
18 1
18
×
18
m = 1,25 e.
Mais m doit être entier donc le jeu n’est jamais équitable
xi 0
pour n = 16.
17 20
P(X=xi) 1 18
2. a) Loi de probabilité de X pour m et n quelconques
strictement positifs.
b) E(X) ≈ 6,1 xi –m 5–m 10 – m
Sur un grand nombre de répétitions de 20 parties, le n 3 1
premier 9 sort en moyenne à peu près à la sixième partie. P(X=xi)
n+4 n+4 n+4
– nm + 3 × (5 – m) + 1 × (10 – m)
E(X) =
n+4
7. Exercices d’entraînement 25 – 4 m – nm
=
n n+4
24 1. a) E(aX + b) = ∑ p (ax + b)
i =1
i i 2. b) Le jeu est équitable si et seulement si
n n n n 25 – 4 m – nm = 0, donc si m(4 + n) = 25 avec m et n
= ∑ p ax + ∑ p b = a ∑ p x + b ∑ p
i =1
i i
i =1
i
i =1
i i
i =1
i entiers.
m et 4 + n sont donc des entiers positifs diviseurs de 25.
= aE(X) + b On a deux possibilités :
n
= a ∑ p x – (aE(X))
tué de 3 issues, avoir 2, 4 ou 6, donc sa probabilité est :
2 2 2
i =1
i i
1 1 1 5
+ + =
n
12 12 4 12
= a2 1∑ p x
i =1
i i
2
– E(X)2 2. On a une répétition de 3 expériences identiques et
= a V(X) 2 indépendantes, donc :
5 3 125
2. a) Comme Y = aX, alors V(Y) = a2V(X) et par conséquent
s(Y) = a s(X)
a) P(p, p, p) = 1
12
=
1 728
b) « Avoir au moins une face paire » est l’événement
Donc s(Y) = 1 ⇔ 5 a = 1
contraire de « avoir 3 faces impaires », donc la probabilité
⇔ a = 0,2 ou a = – 0,2.
de cet événement est :
2. b) L’espérance de Y est alors 0,2 E(X) ou – 0,2 E(X) selon 7 3 1 385
la valeur choisie pour a. 1
1 – P(i, i, i) = 1 –
12
=
1 728
5 7 2 245 245
25 1. a) Loi de probabilité de X pour m = 1 et n quel-
conque strictement positif.
c) P(p, i, i) = ×1
12 12
= 3 =
12 1 728
d) Il y a 3 façons d’avoir une face paire et 2 impaires. La
xi –1 4 9 probabilité de cet événement est :
n 3 1 5 7 2 735 245
P(X=xi)
n+4 n+4 n+4 3 × P(p, i, i) = 3 × ×1
12 12
= 3 =
12 576
155
30 a) La loi de probabilité de F est une loi géométrique 35 a) A ∩ B : « obtenir une fois Face et deux Pile »
tronquée, qui peut se résumer dans le tableau : P(A ∩ B) = 3/8
156
En étudiant les valeurs obtenues pour n = 1, 2, 3, …, on 38 1. E(X) = 0 × 0,3 + 2 × 0,2 + 3 × 0,5 = 1,9.
voit (ce qui est logique) que la probabilité pour que la tor- Réponse b).
tue gagne diminue quand n augmente, et que c’est pour 2. V(X) = 0,3(0 – 1,9)2 + 0,2(2 – 1,9)2 + 0,5(3 – 1,9)2 = 1,69.
la valeur 4 que cette probabilité est la plus proche de 0,5. Réponse c).
Cependant, cette probabilité n’est pas vraiment égale 3. E(Y) = E(X) + α donc E(Y) = 0 équivaut à 1,9 + α = 0
à 0,5, donc le jeu n’est jamais parfaitement équitable. équivaut à α = –1,9.
3. a) On 6 choix par chiffre du nombre, donc au total 6n Réponse b).
nombres possibles.
b) Si l’on exclut le nombre 6, on a 5 choix possibles pour Vrai – Faux
chaque chiffre, donc au total 5n nombres possibles sans 6.
39 a) Vrai. À chaque issue de l’expérience est associée
c) Comme l’on tire au hasard, tous les choix sont équi-
une seule valeur de X.
probables, et on peut utiliser la formule :
b) Vrai. La variance de Y s’obtient en multipliant celle
nombre d’issues favorable s à A de X par 2,52, et donc l’écart-type de Y est :
P(A) =
nombre total d’issues
2,52 × 2,25 = 2,5 2,25 = 2,5×1,5= 3,75
ce qui donne la probabilité que la tortue gagne égale à : c) Vrai. Cela signifie que la variable aléatoire est une
5n 5 n
6n
=
6 1 constante.
d) Faux. Car la composition de l’urne a changé lors des
d) On fait ensuite le même raisonnement que dans la tirages successifs, puisqu’il n’y a pas remise, donc les
partie 2. expériences ne sont pas indépendantes.
157
1 R
n n–1 B – 5 points
n
1
R – 5 points
n–1 n
n B
La variance est le carré de l’écart-type. On peut obtenir
4 791 n–1
sa valeur exacte : en élevant au carré sx(TI) ou B 1 point
100 n
sxn (Casio).
Le jeu n’est pas équitable car l’espérance n’est pas nulle. b)
b) Dans les deux jeux, l’espérance est la même, mais la
xi –5 1 16
variance est beaucoup plus grande dans le deuxième,
ce qui veut dire que parfois on peut gagner plus. Donc, 2(n – 1) (n – 1) 2
1
P(X=xi)
Marina choisira le jeu B. n2 n2 n2
158
159
– 200 + 30 + 3 – 167
c) E(X) = = . On trouve E(X) = 60,542.
216 216
2. a) Parmi les 216 nombres compris entre 1 et 216, 55 Voici un programme à réaliser sur la TI :
1 correspond à l’obtention de trois fois 4,
15 correspond à l’obtention de deux fois 4,
75 correspond à l’obtention d’un 4,
et 125 correspond à l’obtention d’aucun 4.
Par conséquent, on teste si le nombre aléatoire est 1,
auquel cas on gagne 3 euros, et sinon, on teste si le
nombre est compris entre 2 et 16 (15 nombres entiers)
auquel cas on gagne 2 euros, sinon on teste s’il est com-
pris entre 17 et 91 (75 nombres entiers), auquel cas on
gagne 1 euros, et sinon on perd un euro.
b) Voir site compagnon.
La moyenne des gains obtenus est très proche de l’es-
pérance calculée précédemment.
160
( 46 ) 3× ( 46 ) × 26 ( ) ( 26 ) = 2168
7
4 5
Donc 1 0,25.
P(X = k)
3 2
4 2
3× ×
3 3
4 n 5
15
étant le terme général d’une suite géométrique de 6 6
raison strictement inférieure à 1, celle-ci est décroissante.
3 Formule à insérer dans la cellule A2 (et à recopier
Il suffit de trouver le plus petit entier n pour lequel l’iné-
vers le bas) :
galité est vérifiée.
4 n 4 n =ALEA.ENTRE.BORNES(1;6)
Or 1
5
≈ 0,26 et 1
5
≈ 0,21. Formule à insérer dans la cellule C3 (et à recopier vers
Il faut donc qu’il envoie 7 lettres. la droite) :
=NB.SI($A$2:$A$100:C2
• Énigme ✱ ✱ 4 a)
On note n le nombre d’élèves de la classe. Il s’agit alors de k –2 0 18 198
demander à chacun des n élèves s’il a ou non un jumeau. 189 63 1 1 1
P(G = k) =
L’issue de l’expérience est alors oui ou non. Les réponses 300 100 3 30 300
des élèves sont indépendantes (le fait d’avoir un jumeau 63 1 1 1
b) E(G) = – 2 × + 0 × + 182 × + 1982 × = 0.
ne dépend pas d’autre chose que la composition de la 100 3 30 300
Le jeu est donc équitable. Une personne qui joue un grand
famille de la personne interrogée). La variable aléatoire
nombre de fois, en moyenne, ni ne gagne, ni ne perd.
qui compte le nombre de réponses oui suit une loi bi-
3 63 1 1 1
nomiale de paramètres n et . L’événement considéré c) V(G) = (– 2)2 × + 02 × + 182 × + 1982 × = 144.
100 3 30 300
250
est (X > 1) dont l’événement contraire est (X = 0). Or 5
247 n 247 n 4
P(X = 0) = 1
250 1
. Donc P(X > 1) = 1 –
250
= .
10
6 247 n
On résout alors l’équation : =
10 2501 soit
247
ln(0,6) = n.ln 1
250
d’ou n ≈ 42,31. Il doit y avoir 43 élèves
dans la classe pour que le professeur puisse affirmer la chose.
247 42
On vérifie que 1 – 1
250
0,4.
161
112 = 78.
1/4 3/4 3/4 A
1/4 B = 1 – P(X = 0) = 1 –
1/4 B
B 19 a) Épreuve de Bernoulli : prendre une lettre (elle a
3/4 A
3/4 A 2 issues, consonne ou voyelle)
1/4 1/4 B
B 3/4 Succès : obtenir une voyelle ; p(succès) = 4/10.
A
1/4 B On répète l’expérience 3 fois de manière indépendante
1/4 B
puisque les tirages se font avec remise.
12 Il y a 3 répétitions d’une expérience à 2 issues. La La variable aléatoire qui compte le nombre de voyelles
probabilité de succès (obtenir A) est 3/5. obtenues suit alors la loi binomiale (3 ; 4/10).
On peut par exemple prélever successivement et avec b) N’obtenir que des voyelles s’écrit (X = 3). Sa proba-
remise 3 boules d’une urne contenant 3 boules vertes bilité est :
et 2 rouges, et s’intéresser au nombre de boules vertes 4 3
obtenues.
P(X = 3) =
101 = 0,064
163
b) E(X) = 3 ×
1 3
=
6. Travaux pratiques
2 2
La linéarité de l’espérance permet d’affirmer que : 30 1. a) La variable S compte le nombre de fois où
E(G) = 12E(X) – 1 = 17. le 1 est sorti.
164
165
166
P(X = k) 0,0563 0,1877 0,2816 0,2503 0,146 0,0584 b) Le « devin » a environ 5 % de chances de trouver
8 bonnes réponses sur 10, s’il se base sur le hasard. Aux
k 6 7 8 9 10 habitants de décider…
P(X = k) 0,0162 0,0031 0,0004 3 × 10 10–6
–5
46 a) à 10–3 près
k 0 1 2 3 4 5
P(X = k) 0 0 0 0 0 0
k 6 7 8 9 10 11
P(X = k) 0 0,0002 0,0008 0,003 0,0099 0,0271
k 12 13 14 15 16 17
1 P(X = k) 0,0609 0,1124 0,1686 0,2023 0,1897 0,1339
b) E(X) = 10 × = 2,5. En moyenne, on obtient 2,5 en
4
lançant ce dé.
k 18 19 20
c) Le contraire de l’événement cherché, (X 1), est
P(X = k) 0,0669 0,0211 0,0032
(X = 0). Donc P(X 1) = 1 – P(X = 0) soit :
3 10
P(X 1) = 1 –
41 ≈ 0,944. b) S’il en manque au moins 10, c’est qu’il en marque au
plus 10 donc A = (X 10).
2. a) Pour que le 2 soit obtenu pour la première fois au Pour P(A), il suffit d’ajouter les probabilités des 11 pre-
ne lancer, il ne faut jamais l’avoir obtenu au cours des mières colonnes et P(A) ≈ 0,014.
(n – 1) premiers jets et l’avoir au dernier. S’il marque au moins 15 paniers c’est que (X 15).
La probabilité de cet événement est donc : P(X 15) ≈ 0,617.
3 n–1 1 1 3 10 47 a) L’épreuve de Bernoulli considérée est le fait
1 4
× , soit Un = .
4 4 41 de prélever une facture et vérifier si elle est erronée ou
3
b) Il est alors évident que Un est géométrique de raison . non. Les prélèvements sont supposés faits avec remise.
4
c) La suite est décroissante car sa raison est dans [0 ; 1[ L’indépendance des expériences est acquise (une facture
et son premier terme est positif. Comme U4 ≈ 0,105 et n’est pas erronée en fonction des autres).
U5 ≈ 0,08, la décroissance permet d’affirmer que pour La variable X suit la loi binomiale (20 ; 0,03).
tout n 5, Un 0,1. b) P(X = 0) = 0,9720 ≈ 0,54.
c) P(X 2) = P(X = 0) + P(X = 1) + P(X = 2) en utilisant le
44 a) P(E) = 1 × 1 = 1 . caractère disjoint des 3 événements.
4 4 16 P(X 2) ≈ 0,54 + 0,34 + 0,1 ≈ 0,89.
167
168
()() ()
3 1
1
4
2
42 1
P(X = 1) = × × = 3× 3 . Sauf pour p = , les quantités pk(1 – p)n–k et pn–k (1 – p)k
1 5 5 5 2
diffèrent.
2. b) L’événement considéré est (X 1) ; c’est le contraire
de l’événement (X = 0) dont la probabilité est :
() () ()
0 3 3
3 1 4 4
P(X = 0) = × × = . Se préparer au contrôle
0 53 5 5
P(X 1) = 1– ()
4
5
=
61
125
.
3. c) L’espérance d’une variable aléatoire qui suit une
61 a) L’épreuve de Bernoulli que l’on considère est
ici de prélever un animal dans le cheptel et de s’assurer
loi binomiale de paramètres n et p vaut n × p donc ici qu’il soit ou non affecté par la maladie. Le succès est
1
3 × = 0,6. alors : « L’animal est malade ». Sa probabilité est de
5
0,005. On répète 10 fois cette expérience de manière
Vrai – Faux indépendante (l’énoncé suggère que le tirage peut être
considéré comme avec remise). La variable X suit donc
59 a) Vrai. On répète 3 fois la même expérience. Les la loi binomiale de paramètres 10 et 0,005.
résultats peuvent être supposés indépendants. Le succès, b) E(X)= 10 × 0,005 = 0,05.
1
obtenir 1, a une probabilité égale à .
6
b) Faux. Les deux expériences ne sont ni identiques ni 62 Épreuve de Bernoulli : prélever un stylo et noter
indépendantes puisque le résultat de la première influe s’il présente ou non un défaut. On appelle succès le fait
sur le contenu du sac. pour un stylo de présenter un défaut. Sa probabilité est
c) Vrai. La situation relève de la loi binomiale. de 0,1. On répète 8 fois cette expérience de manière
() ()
3 7
10 1 1 indépendante (les tirages se font avec remise). Si l’on
P(X = 3) = × ×
3 2 2 note X la variable aléatoire qui compte le nombre de
et P(X = 7) = × ( ) × ( ) .
7 3
10 1 1 stylos présentant un défaut, alors X suit la loi binomiale
7 2 2 de paramètres 8 et 0,1.
10 10 Alors P(A) = P(X = 0) = 0,98 soit P(A) ≈ 0 ,43
Comme = (symétrie des coefficients bino-
3 7
miaux), les deux probabilités sont égales. P(B) = 1 – P(A) soit P(B) ≈ 0,57.
d) Faux. La situation relève d’une loi binomiale de pa- 8
1 P(C) = P(X = 2) = ×0,12 ×0,96
ramètres n et . 2
3
(Si on note p le nombre de boules noires, alors il y a 2p = 28×0,12 ×0,96 soit P(C) ≈ 0,15.
boules blanches et donc la probabilité d’obtenir une
p 1 63 a) Épreuve de Bernoulli : prélever une boule de
noire est de = ).
3p 3 l’urne et noter si sa couleur est blanche ou non.
n
Alors l’espérance est . On appelle succès le fait de tirer une boule blanche, sa
3
1
60 a) Faux. = 210 et = 252 .
10 10 probabilité est de 5 = 0,2.
6 5
b) Vrai. C’est la formule du cours p. 306 § 3 appliquée On répète 10 fois cette expérience de manière indépen-
à n = 10. dante (les tirages se font avec remise).
c) Faux. P(X 6) se calcule en ajoutant les probabilités Alors X suit une loi binomiale de paramètres 10 et 0,2.
des événements (X = k) pour 0 k 6.
Cette probabilité vaut 0,613. ki 0 1 2 3
d) Vrai. On sait que V(X) = n × p × (1 – p) et que P(X = k) 0,107 37 0,268 44 0,301 99 0,201 33
σ(X) = np(1– p) = np – np2 . On peut alors définir la
fonction f (p) = np–np2 sur l’intervalle [0, 1]. ki 4 5 6 7
1
La fonction g : p np – np2 est croissante sur 0 ; et P(X = k) 0,088 08 0,026 42 0,005 51 0,00079
2
1
décroissante sur ;1 , à valeurs dans [0 ; + [, intervalle
2
sur lequel la fonction racine carrée est croissante. ki 8 9 10
Par composition, f a le même sens de variation que g.
1 P(X = k) 7,4 × 10–5 4,1 × 10–6 1 × 10–7
Elle admet donc un maximum en .
2
170
() ( ) ()
5 5 5
puis 4 = 5−4 = 1 =5 .
avec remise. L’état des planches est supposé indépen-
dant. On répète l’expérience 12 fois (12 planches par
() ()()
6 = 5 + 5 = 10 + 5 = 15.
2 2 1
table)
Les conditions sont réunies pour pouvoir affirmer que X,
() () ( )
7 10
3. 3 =35 , 86 =28 , 5 =252 . la variable aléatoire égale au nombre de planches fragiles
par table suit une loi binomiale de paramètre 12 et 0,04.
65 a) On répète n fois de manière indépendante la b) La table est vendue au tarif normal si elle a
même expérience de Bernoulli, à savoir lancer un dé et 1 planche avec défaut ou moins. C’est l’événement
noter si la face sortie est un 6. La probabilité de succès (X 1) = (X = 0)∪(X = 1). Les événements de la réunion
1 sont disjoints donc il suffit de sommer leurs probabilités
est de .
6 pour trouver la probabilité cherchée.
La variable X, qui compte le nombre de 6 en n lancers 12
suit une loi binomiale de paramètres n et .
1
6
Or P(X = 0) = 1 0
× 0,040 × 0,9612 = 0,95 ≈ 0,613
12
1 n
b) On sait que E(X) = n × = et V(X) = n × × = .
6 6
1 5 5n
6 6 36
et P(X = 1) = 1 1
× 0,041 × 0,9611 = 12 × 0,041 × 0,9611
binomiaux. F = (X = 0) donc :
5 10 25 25
Si oui, alors il y a un affichage de prévu.
Si non ‘‘ ’’ de la fin de l’instruction signifie : ne rien afficher.
P(F) = P(X = 0) = 1 1 1
0
×
3
×
3 1
= × 5 ≈ 0,132
3
Le second si teste si la cellule considérée est sur la dia- 1
Chaque mot a la probabilité 5 d’apparaître. Il reste à
gonale, auquel cas, elle doit contenir un 1. 3
déterminer les palindromes existants et commençants
Sinon, elle contient la somme des contenus des deux
par A (et donc se terminant par A).
cellules situées à la ligne d’avant, dans la même colonne
5 A : AAAAA
et dans la colonne précédente.
4 A : AABAA AACAA
69 1. a) L’expérience aléatoire consiste à tirer une 3 A : ABABA ACACA
boule dans une urne. Il n’y a que 2 issues : rouge et 2 A : ABBBA ACCCA ABCBA ACBCA
10 1 A : impossible
blanche. Sa probabilité est .
10 + m 0 A : impossible
Le succès est : tirer une boule blanche. Il y en a donc 9.
On répète 2 fois l’expérience dans des conditions d’in- Il y a 18 autres palindromes commençants par B ou C
dépendance (tirage avec remise). soit 27 en tout.
La variable aléatoire X qui compte le nombre de boules 27
Donc P(G) = 5
blanches tirées suit une loi binomiale de paramètres 2 3
2. a) Expérience de Bernoulli : corriger la copie d’un élève.
10
et . Le gain G a 3 valeurs possibles : Issues : il n’a aucune bonne réponse ou il en a au moins
10 + m
4 (2 blanches tirées) une.
– 1 (1 de chaque couleur) Succès : aucune bonne réponse de probabilité 0,132.
– 6 (2 rouges tirées) Nombre de répétitions : 28. Les réponses de 2 élèves se-
On vérifie alors que G = 5X – 6. ront supposées indépendantes (car données au hasard).
20 100 La variable X qui compte le nombre de copies n’ayant
b) E(X) = et E(G) = 5E(X) – 6 = – 6. que des réponses fausses suit donc la loi binomiale de
10 + m 10 + m
c) Le jeu est favorable pour le joueur si l’espérance de paramètres 28 et 0,132.
gain est positive. Au plus, un élève n’a que des réponses fausses s’écrit
100 alors (X 1) = (X = 0)∪(X = 1).
On résout : – 6 0 ce qui amène
28
10 + m
100 6(10 + m) (car 10 + m 0) soit encore m .
20
Or P(X = 0) = 1 0
× 0,1320 × 0,86828 = 0,86828 ≈ 0,02
3 28
m étant un entier, la plus grande valeur de m qui assure et P(X = 1) = 1 1
× 0,1321 × 0,86827 ≈ 0,08
un gain positif est m = 6.
Donc P(X 1) ≈ 0,1.
2. a) La variable X suit cette fois-ci une loi binomiale de
10
paramètres 20 et . 71 Voici 2 séries de résultats obtenues avec Algobox
10 + m
200 1 000 ***Algorithme lancé***
b) E(X) = et E(G) = 5E(X) – 6 = – 6. 0 ; 19 ; 117 ; 424 ; 1150 ; 2030 ; 2476 ; 2107 ; 1246 ; 376 ; 55
10 + m 10 + m
1 000 ***Algorithme terminé***
c) – 6 0 ce qui amène m 156.
10 + m
***Algorithme lancé***
70 1. a) Chaque réponse comporte 3 possibilités. Un 1 ; 9 ; 98 ; 391 ; 1151 ; 2053 ; 2465 ; 2155 ; 1191 ; 419 ; 67
arbre amène à trouver 35 = 243 mots différents. ***Algorithme terminé***
172
117 + n fois.
On suppose que chaque passager se présentera ou non On peut remarquer qu’il s’agit de la somme de probabi-
à l’embarquement de façon indépendante. lités définies par une même loi binomiale de paramètres
Alors X, la variable aléatoire qui compte le nombre de 10 et 0,2.
passagers ne se présentant pas dans l’avion, suit une loi Comme les 11 cas possibles figurent dans la somme,
binomiale de paramètres 117 + n et 0,1. 1 fois et 1 fois chacun, leur somme vaut 1.
Or pour 117 + n places réservées, il y a des places vides b) Si on note p la probabilité de succès au cours des n
dès lors que X n. tentatives et q = 1 – p alors on aura :
n n n 1 n–1 n 2 n–2 n n
La compagnie désire ainsi que P(X n) = 0,9.
Ceci implique qu’il y aura peut-être trop de clients devant
1 1
0
q +
1
p ×q + 12
p × q + … + +
n 1
p = 1
173
174
14 Probabilités et problèmes
( ) ( )( ) ( ) ( )
5 4 2 3
2 1 2 1 2
2. Vérifier les acquis = 3 + 5 3 3 +10 3 3
32 a) Pour la société A : [0,42 ; 0,58], 36 1. a) X suit une loi binomiale de paramètres
pour la société B : [0,44 ; 0,56]. 1
p = et n = 20
b) Pour les deux sociétés f = 0,43. 3
• f ∈ [0,42 ; 0,58], on ne peut pas rejeter l’hypothèse selon 20
b) E (X) = np = .
laquelle la parité est respectée dans la société A. 3
2. a) et b) À l’aide de la feuille de calcul :
• f ∉ [0,44 ; 0,56], on rejette cette hypothèse pour la
P (X 11) ≈ 0,96 et
société B au risque d’erreur de 5 %.
P (X 11) ≈ 1 – P (X 11)
33 a) ≈ 0,04
c) Les examinateurs fixent n = 11.
Taille Intervalle
Amplitude Lorsqu’un candidat répond au hasard, la probabilité
de l’échantillon de fluctuation
qu’il soit reçu est environ 0,04, elle est inférieure à 0,05.
n = 20 [0,05 ; 0,35] 0,3 3. a) et b)
n = 50 [0,1 ; 0,32] 0,22 On lit P (X 11) ≈ 0,24, la probabilité que le candidat
n = 100 [0,12 ; 0,28] 0,16 échoue semble trop importante.
n = 200 [0,145 ; 0,255] 0,11 37 1. a) Si x1 0,1 alors le produit présente le défaut A.
n = 500 [0,166 ; 0,236] 0,07 Si y1 0,2 alors le produit présente le défaut B.
179
180